Parenchyme
- Nom masculin singulier
Définition
- tissu fonctionnel d'un organe du corps humain
- tissu fonctionnel végétal
"parenchyme" dans l'encyclopédie
-
ÉCORCE, botanique
- Écrit par Didier LAVERGNE
- 1 913 mots
Le revêtement superficiel étant transparent, on peut donc apprécier la coloration du parenchyme cortical, vert (chlorophyllien) dans la jeune tige et blanchâtre dans la racine (amylacé). Quand les structures végétales vieillissent, cette transparence du revêtement prend fin. Au niveau des racines, l'épaississement des zones superficielles est dû à l'apparition de tissus subéreux, c'est-à-dire de liège.
-
CHLOROPLASTES
- Écrit par Paul MAZLIAK
- 4 750 mots
Autour des nervures (faisceaux cribro-vasculaires) des feuilles, de grandes cellules serrées, sans méat, forment le parenchyme (ou la gaine) périvasculaire épais de une (cas fréquent) à trois couches de cellules. Entre ces gaines périvasculaires on trouve un mésophylle foliaire parenchyme chlorophyllien très riche en espaces libres, sans orientation dorsiventrale marquée.
-
SUBER
- Écrit par Jacques DAUTA
- 555 mots
Cette assise génératrice produit, vers l'intérieur, un peu de phelloderme, et, vers l'extérieur, des couches régulières de cellules quadrangulaires de suber, le tout constituant une écorce secondaire qui se substitue peu à peu au parenchyme cortical d'origine primaire.
-
CONTUSION
- Écrit par François BOURNÉRIAS
- 615 mots
Une contusion peut avoir des conséquences graves et même fatales si elle atteint un parenchyme noble : foie, rein, poumon, pancréas, cerveau. Une contusion musculaire étendue, par écrasement d'un membre, peut entraîner des manifestations systémiques, notamment rénales (syndrome de Bywaters, ou crush-injury), par la libération de substances nocives provenant de la lyse musculaire.
-
HÉMATOME
- Écrit par François BOURNÉRIAS
- 880 mots
L'hématome tire sa gravité, s'il est très volumineux, de l'hémorragie interne dont il est la conséquence ; de sa situation, entraînant la compression d'un parenchyme noble (action de l'hématome extra- ou sous-dural sur le cerveau) ou sa destruction (cas de l'hématome intracérébral). L'épanchement se résorbe spontanément en quelques semaines, laissant un tissu fibreux cicatriciel.