Parfaire
- Verbe à l'infinitif
Définition
- parachever à la perfection
"parfaire" dans l'encyclopédie
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GETTER
- Écrit par Jean-Pierre LÉVIS
- 1 080 mots
Pastilles de métaux oxydables (on utilise fréquemment les métaux alcalins ou alcalino-terreux) que l'on introduit dans les tubes électroniques au moment de la mise en place des électrodes et qui permettent de parfaire le vide dans les tubes. Le métal du getter est coulé dans une coupelle métallique ; après scellement du tube, celle-ci est violemment chauffée soit par induction à l'aide d'une bobine extérieure, soit par bombardement électronique ; dans ce dernier cas, la coupelle est disposée à proximité de l'anode du tube et électriquement reliée à cette dernière, la source d'électrons étant constituée par la cathode même du tube.
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KŪBRĀ NADJM AL-DĪN (1145-1226)
- Écrit par Michèle ÉPINETTE
- 1 481 mots
L'enseignement qu'il recevra ensuite du maître ‘Ismā'īl Kasrī contribuera à parfaire sa formation de ṣūfi. Il retourne, alors, accompagné de sa famille, dans son pays natal, le Khwārazm (Khārezm), et fonde l'ordre des Kūbrawiyya. L'enseignement qu'il dispense connaît un immense succès : il est entouré de disciples célèbres, dont Madj al-dīn al-Baghdādī.
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GUITTONE D'AREZZO (1230?-1294)
- Écrit par Claude MINOT
- 1 807 mots
Il utilise des formes d'expression et un vocabulaire populaires, mais tend de plus en plus à parfaire son écriture ; c'est à cette époque qu'il écrit des lettres, exercices stylistiques en langue italienne vulgaire, imitant les exemples de l'ars dictandi.
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ZĀKĀNĪ ‘UBAYD-I (1300 env.-1371)
- Écrit par Philippe OUANNÈS
- 1 597 mots
Venu jeune à Chirāz, pour y parfaire pendant quelques années sa formation, ‘Ubayd-i Zākānī retourne à Qazwīn, sa ville natale, en tant que juge, avant de se rendre à Bagdad. On connaît mal la vie de ce contemporain de Hāfiz, peut-être à cause du peu d'estime qu'il inspire : même ses œuvres sérieuses sont truffées d'anecdotes, d'allusions scabreuses et de satires violentes.
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HOFMANN HANS (1880-1966)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 723 mots
Hans Hofmann entreprend des études d'art à Munich en 1898 puis, en 1904, s'installe à Paris pour parfaire sa formation. Il est alors profondément influencé par l'utilisation expressive de la couleur caractérisant la peinture d'Henri Matisse et celle de Robert Delaunay. De retour à Munich, il fonde sa première école d'art en 1915. En 1930, Hans Hofmann émigre aux États-Unis.