Parqué
- Adjectif masculin singulier
- Verbe au participe passé masculin singulier
Définition
- enfermé dans un parc
- garé, pour un véhicule
Forme dérivée du verbe « parquer »
"parqué" dans l'encyclopédie
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VALÉRY PAUL (1871-1945)
- Écrit par Michel JARRETY
- 41 541 mots
- 1 média
Un des points d'origine de La Jeune Parque peut en effet se retrouver dans un sonnet de 1891, « Hélène », et si tels poèmes de l'Album, « Anne » ou « Profusion du soir », furent ébauchés entre 1897 et 1900, l'« Air de Sémiramis » ou « César », qui y furent intégrés plus tard, sont quant à eux contemporains de La Jeune Parque – comme « Heure », ultérieurement publié dans les Pièces diverses, en était originellement un développement possible.
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SALMONA ROGELIO (1929-2007)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 743 mots
Avec le complexe immobilier Torres del Parque (1964), dans lequel il utilise la brique rouge qui le caractérise tant, il accède à la reconnaissance internationale. Quatre fois lauréat du prix national d'architecture (1977, 1986, 1988 et 1990), Salmona est notamment récompensé pour la Casa de Huéspedes Ilustres (1985) à Carthagène, qui a servi de résidence présidentielle, la Casa García Márquez (1990), édifiée pour le romancier colombien dans cette même ville, ainsi que pour le centre culturel Quimbaya qu'il construit à Armenia, dans la cordillère colombienne.
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TCHERNIKHOVSKY SAÜL (1875-1943)
- Écrit par Isaac POUGATCH
- 7 120 mots
S'adressant à son malheureux peuple parqué dans le ghetto russe, il s'écrie : Ô toi, qui as soif de la parole divine, dont l'âme languit après la Lumière de Jéhova, pareil à un oiseau enfermé dans une cage [...] lève-toi et viens ici, ô mon frère abattu. [...] Je te révélerai les cieux des cieux, je verserai sur toi la rosée de la Renaissance, et tu en guériras.
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STÉFAN JUDE (1936-2020)
- Écrit par Gilles QUINSAT
- 2 860 mots
Ces mouvements premiers, où la passion et l'angoisse semblent constamment doublées par le sarcasme et l'ennui, tout le talent de Jude Stéfan aura été de leur insuffler une charge rythmique et émotive d’une grande intensité, dont témoignent ses recueils : Libères, 1970 ; Idylles suivi de Cippes, 1973 ; Aux chiens du soir, 1979 ; Suites slaves, 1983 ; Laures, 1984 ; À la vieille Parque, 1989 ; Prosopopées, 1995 ; Epodes ou poèmes de la désuétude, 1999 ; La Muse Province, 2002 ; Que ne suis-je Catulle, 2010 ; Disparates, 2012.
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LAP JEAN LAPLAINE dit (1922-1987)
- Écrit par Marc THIVOLET
- 3 809 mots
La seule escapade hors du Canard enchaîné que Lap se soit accordée – et encore sous surveillance – fut la publication, pour la Jeune Parque du Guide de Colombey qu'il réalisa avec Alain Ayache – le futur propriétaire du Meilleur – et Roland Bacri, collaborateur du Canard.