Parthique
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- relatif aux Parthes, ancien peuple établi au sud-ouest de la mer Caspienne, fondateur de la dynastie arsacide
Synonyme
- parthe
"parthique" dans l'encyclopédie
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PARTHES
- Écrit par Philippe GIGNOUX et Guy JUCQUOIS
- 29 306 mots
- 4 médias
S'il est une période obscure dans l'histoire de l'Iran ancien, c'est bien celle des cinq siècles durant lesquels les Parthes imposèrent leur autorité à l'ensemble du plateau iranien. Certes, l'abondance relative des sources étrangères, qui proviennent principalement de l'historiographie gréco-latine, a pu conduire à négliger la recherche de documents proprement iraniens ; l'intérêt qu'on a porté en premier lieu aux civilisations les plus anciennes a pu amener les fouilleurs à ne pas prendre garde aux témoins qui restaient encore de ces époques plus récentes.
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TRAJAN (53-117)
- Écrit par Yann LE BOHEC
- 17 323 mots
- 3 médias
L'année suivante, l'empereur reçut le surnom de Parthique qu'il conserva pour la postérité. En 116, il mena les armes romaines jusqu'à Babylone et organisa la province d'Assyrie. Mais une révolte générale éclata dans les territoires fraîchement conquis. Une insurrection des Juifs, née en 115, prit alors vilaine tournure et Trajan dut détacher Marcius Turbo pour remettre de l'ordre.
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CÉSAR (101-44 av. J.-C.)
- Écrit par Claude NICOLET et Michel RAMBAUD
- 42 381 mots
- 6 médias
Au début de 44, César songeait surtout à une grande entreprise qui devait le mener sur les traces d'Alexandre : l'expédition parthique, destinée à venger Crassus. De décembre 45 à mars 44, il tâte l'opinion, préparée par sa propagande, pour savoir si elle accepterait que lui soit attribué le titre de roi. Une partie des césariens le souhaite ; le consul Marc Antoine, à la fête des Lupercales, tente de le couronner : la foule gronde.
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ROME ET EMPIRE ROMAIN Le Haut-Empire
- Écrit par Yann LE BOHEC et Paul PETIT
- 193 988 mots
- 17 médias
ou réputés tels pour les besoins de la propagande (il sera « germanique », « parthique », ...). Politique et militaire, le pouvoir impérial est enfin, et peut-être surtout serait-on tenté de dire, religieux. Le prince est responsable des cultes officiels, « souverain pontife ». À cette autorité précise et concrète il ajoute des charges plus ou moins bien définies.