Partisanerie
- Nom féminin singulier
Définition
- esprit partisan, parti pris
"partisanerie" dans l'encyclopédie
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PARTISAN, finances
- Écrit par Frédéric BLUCHE
- 1 974 mots
Partisan est donc synonyme de fermier de l'impôt. Malgré les progrès apportés par Colbert, entre 1661 et 1683, au système fiscal, il est très difficile de distinguer au xviie siècle le partisan du fermier général. Parfois, les deux termes sont équivalents ; souvent aussi le partisan est une sorte de sous-traitant, inférieur au fermier général et à la fonction beaucoup moins stable.
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FTP (Francs-tireurs et partisans)
- Écrit par Armel MARIN
- 1 304 mots
- 1 média
Organisation armée de résistance à l'occupation allemande de la France, durant la Seconde Guerre mondiale, les F.T.P., ou Francs-tireurs et partisans, avaient été créés par le Front national, lui-même mouvement de résistance en zone nord à partir de juin 1941 et qui était dominé par le Parti communiste. Ces maquisards conservèrent jusqu'à la fin de la guerre une indépendance de fait, même lorsque de Gaulle unifia l'ensemble des Forces française de l'intérieur sous l'autorité du général Koenig en mars 1944.
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LES PARTISANS (D. Bona) Fiche de lecture
- Écrit par Charles-Louis FOULON
- 5 910 mots
- 1 média
Lui-même auteur de La Complainte du partisan, Emmanuel d’Astier de La Vigerie souhaitait que la Résistance ait un hymne. La Marseillaise de la Résistance est née le 30 mai 1943 des échanges entre Kessel et Druon, sur la mélodie composée dès 1941 par Anna Marly et qui fut l’indicatif musical de l’émission de la France libre diffusée sur la BBC, Honneur et Patrie, du printemps de 1943 au 17 mai 1944.
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FRANCE (Arts et culture) La littérature
- Écrit par ETIEMBLE
- 40 297 mots
- 3 médias
Pour parler d'« autarcie », il faut donc soit une ignorance qu'on ne saurait reprocher à Curtius, soit une bonne dose de partisanerie. Car depuis mille ans ou peu s'en faut qu'elle existe, la littérature française ne s'est nourrie que de littératures étrangères. Le « moment classique » lui-même, lui surtout, de quoi donc se forma-t-il sinon de littératures anciennes, latine et grecque, traduites, transposées, imitées sans vergogne, contaminées de littératures contemporaines (l'espagnole, l'italienne), avec des touches d'influences turques, chinoises ou barbaresques ? Sans littérature arabe, point de troubadours, point de Mille et Un Jours, point de Fou d'Elsa.