Patte
- Nom féminin singulier
- Verbe à l'indicatif présent 1e personne du singulier
Définition
- membre des animaux supportant le corps et permettant la marche
- familièrement, main, pied ou jambe
- dextérité spécifique à un artiste
- pièce plate et allongée qui sert à fixer, à assembler, à fermer, à soutenir, etc.
- triangle métallique situé à l'extrémité des bras d'une ancre
- (au pluriel) favoris ( patte s de lapin)
- torchon, chiffon (Suisse)
Forme dérivée du verbe « patter »
"patte" dans l'encyclopédie
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PATTE PIERRE (1723-1814)
- Écrit par Jean-Jacques DUTHOY
- 676 mots
Architecte et théoricien, Pierre Patte, élève de Boffrand, a pris une part considérable aux discussions sur l'architecture et l'urbanisme de son temps par ses très nombreux ouvrages : Monuments érigés en France à la gloire de Louis XV (1764), Mémoire sur les objets les plus importants de l'architecture (1769), Suite du cours d'architecture de Blondel (1777).
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UN FIL À LA PATTE (G. FEYDEAU) Fiche de lecture
- Écrit par Guy BELZANE
- 8 316 mots
- 1 média
Un fil à la patte est une pièce en trois actes de Georges Feydeau (1862-1921) créée à Paris au théâtre du Palais-Royal le 9 janvier 1894. Après des débuts difficiles – malgré la bonne réception de Tailleur pour dames en 1886 –, Feydeau connaît enfin la réussite en 1892, avec, la même année, Monsieur chasse, Champignol malgré lui et Le Système Ribadier.
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AUTOTOMIE
- Écrit par Andrée TÉTRY
- 2 521 mots
Rupture volontaire d'un appendice (patte ou queue) à la suite d'une brusque pression assez intense. Une sauterelle, saisie par sa patte postérieure, la détache tout entière et s'enfuit ; un lézard, attrapé par sa longue queue, la brise et l'animal mutilé s'échappe. Ce phénomène d'autotomie est un comportement inné, un réflexe de conduite ; il est connu chez les crabes, les phalangides, les pycnogonides, des chilopodes (Lithobius, scutigère), les blattes, les phasmes, les orthoptères, les tipules, des échinodermes (crinoïdes, holothuries, astéries, ophiures), les lézards.
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MATTEUCCI CARLO (1811-1868)
- Écrit par Jean-Gaël BARBARA
- 4 860 mots
- 1 média
Son œuvre principale, le Traité des phénomènes électro-physiologiques des animaux (1844), reprend et poursuit les études de Luigi Galvani (1737-1798) sur l’électricité comme phénomène fondamental du vivant, sur la fonction physiologique de la polarisation des tissus, ainsi que sur la mesure des courants nerveux gouvernant la contraction musculaire, en utilisant aussi bien le galvanomètre de son maître Leopoldo Nobili (1784-1835) que le test biologique de la patte « galvanoscopique » de la grenouille (patte avec son nerf sciatique coupé dont la contraction est produite par l’électricité).
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RÉFLEXES
- Écrit par Paul LAGET
- 18 759 mots
- 1 média
Si l'on stimule la peau d'un doigt d'une patte postérieure, par exemple en le trempant dans une solution d'acide plus ou moins dilué, il se produit un mouvement de flexion du doigt ou de la patte. Une observation plus attentive de cette réponse permet d'en tirer nombre de principes généraux la gouvernant. Tout d'abord, on note la présence d'une certaine latence entre l'application du stimulus et la contraction musculaire qui en résulte.