Paumelle
- Nom féminin singulier
Définition
- système de fermeture à pivot comportant une partie fixe et une partie mobile
- bande de cuir protectrice, placée au creux de la main par un ouvrier poussant une aiguille
- variété d'orge (orge à deux rangs)
"paumelle" dans l'encyclopédie
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DIATKINE RENÉ (1918-1997)
- Écrit par Florence QUARTIER-FRINGS
- 4 804 mots
Et puis sont essentielles aussi les rencontres avec ceux qui, comme Serge Lebovici, Philippe Paumelle, René Angelergues, Évelyne et Jean Kestemberg, pour ne citer qu'eux, deviennent des compagnons de route, avec lesquels il entreprend de poser les jalons d'une nouvelle psychiatrie de l'enfant, d'élargir le champ de la psychanalyse, de redéfinir la compréhension de la maladie mentale.
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LEBOVICI SERGE (1915-2000)
- Écrit par Anny COMBRICHON
- 4 998 mots
Avec Philippe Paumelle et René Diatkine, Lebovici fonde en 1954 l'Association de santé mentale du XIIIe arrondissement de Paris, d'où naîtra en 1958 le centre Alfred-Binet, lieu de consultations publiques où exercent des psychanalystes – une première expérience de « sectorisation », dans le prolongement de la psychothérapie institutionnelle expérimentée à Saint-Alban pendant la Seconde Guerre mondiale et réflexions du groupe de L'Évolution psychiatrique (Henri Ey, Eugène Minkowski).
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NOMS VERNACULAIRES FRANÇAIS (botanique)
- Écrit par Jean-Marie PRUVOST-BEAURAIN
- 21 364 mots
- 2 médias
1826), à sporophore lui aussi très connu comme excellent comestible, a plusieurs noms, dont : champignon à bague, coulemelle, couleuvrée, grisotte, lépiote élevée, nez-de-chat, parasol, paturon, paumelle, saint-Michel. Le plus mauvais est sans doute « champignon à bague » (les amanites aussi ont un anneau !), mais « couleuvrée » (qui est aussi l'un des noms de la cucurbitacée Bryonia dioica L.
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PSYCHIATRIE
- Écrit par Jean AYME, François CAROLI, Chantal GUÉNIOT, Georges LANTERI-LAURA, Frédéric ROUILLON et Encyclopædia Universalis
- 92 320 mots
Le terme psychiatrie semble attesté en français depuis 1842, formé par dérivation à partir du mot psychiatre, lui-même connu vers 1802 et emprunté aux langues germaniques. Il est à cette époque à peu près synonyme de pathologie mentale, mais ne s'y substitue que vers la fin du xixe siècle et désigne alors une branche particulière de la médecine, celle qui concerne cette partie de la « folie », dont la médecine estime pouvoir rendre compte, en y envisageant clinique, diagnostic et thérapeutique.