Pelisse
- Nom féminin singulier
Définition
- vêtement doublé de fourrure
"pelisse" dans l'encyclopédie
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HUSSARDS
- Écrit par Jean DELMAS
- 2 491 mots
Ils portent la pelisse, la veste et la culotte à la hongroise (bleu de ciel avec tresse blanche, fourrure noire), shako de feutre blanc ou rouge. Ils sont armés d'un mousqueton, de deux pistolets et d'un sabre court. Pendant les guerres de la Révolution, des corps francs sont créés qui prennent la dénomination de hussards de la Liberté, de la Mort, de la Montagne, etc.
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SALABREUIL JEAN-PHILIPPE (1940-1970)
- Écrit par Francis WYBRANDS
- 3 279 mots
Dans La Liberté des feuilles, Jean-Philippe Salabreuil cherche son identité, il s'invente un nom propre (« Saint François et La Fontaine / Essenine et Supervielle ! / C'est ce chien de Salabreuil / Avec sa pelisse en deuil / Qui vous jappe cantilène »), se cherche des ancêtres, imite les poètes baroques ; le chant se fait parfois grinçant mais sans jamais perdre sa fluidité.
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HAGHIA TRIADA
- Écrit par Martine Hélène FOURMONT
- 3 665 mots
- 1 média
On y voit un mort, vêtu d'une longue pelisse, placé devant un édifice (vraisemblablement sa tombe) à proximité d'un arbre et d'un autel à degrés vers lequel se dirige un cortège de porteurs d'offrandes, de musiciens et les victimes d'un sacrifice sanglant. Sur l'autre côté, une prêtresse offre des fruits et du vin sur un autel placé près de l'arbre sacré et des doubles haches.
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ŒUVRES COMPLÈTES (O. Mandelstam) Fiche de lecture
- Écrit par Yves LECLAIR
- 5 435 mots
Sortie des poches du Manteau de Gogol, comme le bref récit, tendre et cruel de La Pelisse (Proses éparses, esquisses, 1922-1927), mais étoilée de délire surréaliste, la mosaïque narrative du Timbre égyptien (1928), mêlant lyrisme et ironie, juxtapose la férocité d’un présent captif et les réminiscences lumineuses. Dans la furieuse Quatrième Prose (1929-1930), longtemps clandestine, l’intellectuel déclassé (le raznotchinets) règle ses comptes avec le stalinisme et ses écrivains officiels.
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CHANEL GABRIELLE dite COCO (1883-1971)
- Écrit par Catherine ORMEN
- 9 375 mots
- 3 médias
Avec le duc de Westminster, de 1924 à 1931, elle découvre l'élégance et le confort anglais : le tweed, le chandail, la veste masculine, la pelisse qui feront désormais partie de ses collections. En 1926, lasse des débordements outranciers, des perles et des paillettes des années folles, elle propose pour le soir une petite robe noire, une « Ford signée Chanel » comme la qualifie le Vogue américain qui, immédiatement, pressent son incroyable destinée.