Pelleterie
- Nom féminin singulier
Définition
- travail ou commerce des peaux et fourrures
- ces peaux et fourrures
"pelleterie" dans l'encyclopédie
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RAGONDIN
- Écrit par Marie-Claude BOMSEL
- 2 139 mots
On fait varier artificiellement les couleurs de leur robe pour les besoins du marché de la pelleterie. Leur cuir est aussi utilisé en maroquinerie.
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BELETTE
- Écrit par Marie-Claude BOMSEL
- 2 217 mots
- 1 média
Comme tous les autres Mustélidés, les belettes ont payé un lourd tribut à la pelleterie et ce dès le xviiie siècle. Trappeurs et marchands les ont abondamment chassés pour leurs peaux. Aujourd'hui, le négoce et les élevages sont considérablement réduits. Bien adaptées à leur milieu, les belettes ne sont plus menacées d'extinction.
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RONGEURS ET LAGOMORPHES
- Écrit par Robert MANARANCHE et Pierre-Antoine SAINT-ANDRÉ
- 15 797 mots
- 14 médias
La famille des Chinchillidae est surtout connue par le genre Chinchilla, dont la fourrure laineuse est si appréciée en pelleterie qu'il a sans doute disparu totalement des régions andines où on le chassait. Les Octodontoidea sont représentés par des formes bien adaptées à la vie aquatique comme le ragondin (Myocastor coypus) élevé en captivité pour sa fourrure, mais aussi par des genres terrestres comme Octodon.
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MYXOMATOSE
- Écrit par Louis JOUBERT
- 6 171 mots
Prophylaxie La myxomatose présente l'originalité de satisfaire les agriculteurs et les forestiers qui subissent les déprédations du lapin, mais de consterner les éleveurs, les chasseurs et les industriels en armes, munitions, pelleterie, qui réclament une prophylaxie. La prophylaxie sanitaire réglementée (déclaration, mise en interdit de l'exploitation, destruction des cadavres, abattage éventuel) ne peut isolément obtenir l'éradication d'une maladie d'une très haute contagiosité, à réservoir et vecteurs sauvages, et ultérieurement extensible aux élevages domestiques.
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LEIPZIG
- Écrit par Hélène ROTH
- 6 567 mots
- 2 médias
Le margrave de Meissen Otto le Riche lui accorde le privilège urbain et le privilège de marché vers 1165, et la ville devient dès la fin du xiie siècle un centre européen de la pelleterie et du textile. L’empereur Maximilien Ier accorde à Leipzig en 1497 le titre de foire impériale (Reichsmesse), privilège qui conforte sa renommée dans tout l’Empire et assoit sa position dominante face aux concurrences régionales (Halle, Magdebourg, Erfurt).