Pensée
- Nom féminin singulier
- Verbe au participe passé féminin singulier
Définition
- ensemble des facultés psychiques, activité de l'esprit
- esprit, conscience
- idée, imagination, opinion
- intention, rêve, souvenir
- ensemble des opinions, des idées d'une personne, d'un groupe ("la pensée de Descartes")
- manière de faire travailler son esprit
- maxime, précepte
- en botanique, plante ornementale à fleurs, de la famille des violacées
Forme dérivée du verbe « penser »
"pensée" dans l'encyclopédie
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PENSÉE
- Écrit par Pascal ENGEL
- 45 674 mots
- 1 média
Mais on ne peut comprendre ces faits plus vastes et plus complexes si l'on ne cherche pas d'abord à savoir comment une pensée peut être produite, entretenue, et acquérir un contenu. L'intentionnalité des pensées Au sens large, toute attitude propositionnelle et son contenu impliquent une « pensée » ou sont une forme de pensée : on ne peut pas croire que p sans avoir la pensée que p, ni désirer que p sans avoir la pensée que p.
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LA PENSÉE DU ROMAN (T. Pavel)
- Écrit par Jean-Didier WAGNEUR
- 5 308 mots
La Pensée du roman est d'une richesse qu'une seule lecture n'épuise pas. Rien – même l'humilité nécessaire devant l'objet – ne manque à ce travail. Tout au long de son parcours, Thomas Pavel se livre à des présentations détaillées de chaque œuvre, nourries par sa passion de lecteur pour les romans, non seulement prémodernes mais aussi anglo-saxons.
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LA PUISSANCE DE LA PENSÉE (G. Agamben)
- Écrit par Francis WYBRANDS
- 5 460 mots
Condition nécessaire afin de faire le saut dans « la puissance de la pensée ».
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LES LOIS DE LA PENSÉE (G. Boole)
- Écrit par Bernard PIRE
- 1 038 mots
En 1854, il publie l'exposé abouti de ses idées dans un traité dont le titre complet est significatif : Une exploration des lois de la pensée sur lesquelles sont fondées les théories mathématiques de la logique et des probabilités (An investigation into the Laws of thought, on which are Founded the Mathematical Theories of Logic and Probabilities).
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PETITE ENFANCE ET DÉBUTS DE LA PENSÉE
- Écrit par Roger LÉCUYER
- 7 434 mots
Pour la majorité des auteurs, ces limites impliquaient l’absence de capacités de représentation, donc de pensée. Mais Piaget lui-même, ayant pris comme critère de la représentation la prise en compte de l’existence d’un objet disparu, a conclu à l’existence de représentations dès neuf mois, âge où un objet caché est recherché activement. Les techniques modernes d’interrogation Si le bébé de cinq mois (et même de 2 mois et demi) a la permanence de l’objet, pourquoi ne recherche-t-il pas un objet caché sous ses yeux ? Parce qu’il faut pour cela planifier une suite de gestes, ce qu’il ne sait pas faire.