Perfectionner
- Verbe à l'infinitif
Définition
- améliorer, essayer de se rapprocher de la perfection
A la forme pronominale
- devenir meilleur, faire progresser ses connaissances
"perfectionner" dans l'encyclopédie
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CARO HEINRICH (1834-1910)
- Écrit par Georges BRAM
- 2 193 mots
En 1855, il obtient son premier poste dans une firme de matières colorantes à Mülheim, et son employeur l'envoie en 1857 se perfectionner en Angleterre, où William Henry Perkin (1838-1907) venait, l'année précédente, de préparer le premier colorant synthétique, la mauvéine. Caro quitte la firme de Mülheim, mais reste en Angleterre pour se perfectionner dans le domaine des colorants de synthèse.
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VINCI LEONARDO (1696 env.-1730)
- Écrit par Philippe BEAUSSANT
- 528 mots
C'est Vinci qui a le plus contribué à développer et à perfectionner le genre de l'aria da capo, en accentuant le contraste des deux thèmes.
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DREYFUS HUGUETTE (1928-2016)
- Écrit par Pierre BRETON
- 3 929 mots
Dès la Libération, elle vient se perfectionner à l’École normale de musique puis au Conservatoire national supérieur de musique de Paris, où elle travaille avec Lazare-Lévy. En 1950, dans la classe que dirige le musicologue Norbert Dufourcq, elle découvre le clavecin. Elle décide alors de se consacrer entièrement à cet instrument et à son vaste répertoire.
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JONGEN JOSEPH (1873-1953)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 994 mots
Né le 14 décembre 1873, à Liège, Joseph Marie Alphonse Nicolas Jongen fréquente le conservatoire de sa ville natale avant de se perfectionner en Italie, en France, puis en Allemagne. En 1903, il commence à enseigner l'harmonie et le contrepoint à Liège. Réfugié en Angleterre durant la Première Guerre mondiale, il y forme un quatuor avec le violoniste Désiré Defauw, l'altiste Lionel Tertis et le violoncelliste Émile Doehaerd, et lui-même au piano.
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GREIF OLIVIER (1950-2000)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 200 mots
Après un premier prix de composition au Conservatoire de Paris, il part en 1969 se perfectionner à la Juilliard School of Music de New York, bénéficiant notamment de l'enseignement de Luciano Berio, dont il est l'assistant, en 1970, lors de la création de son ouvrage Opera à l'Opéra de Santa Fe (Nouveau-Mexique). Comme pianiste, il enregistre les pièces pour piano de Poulenc, mais ce sont principalement ses activités de compositeur qui le font connaître : en 1977 et en 1996, il reçoit les prix Nicolo et Chartier de composition musicale décernés par l'Institut de France.