Perforer

"perforer" dans l'encyclopédie

• LINGJING SITE ARCHÉOLOGIQUE DE

  • Écrit par Isabelle CREVECOEUR
  • 7 733 mots
  • 1 média

  En effet, l’analyse des traces d’usure témoigne d’une utilisation destinée à perforer et gratter des matériaux d’origine animale. En outre, il semble que certains fragments aient pu être emmanchés, ce qui suggère un travail complexe sur de grandes carcasses d’herbivores. L’industrie lithique est principalement réalisée sur quartz. Elle se compose de nucléus et éclats obtenus par percussion directe.

• NANCARROW CONLON (1912-1997)

  • Écrit par Alain FÉRON et Juliette GARRIGUES
  • 11 200 mots

  En 1947, Nancarrow se rend à New York pour y acquérir un piano mécanique et un appareil à perforer ces rouleaux. Un système perfectionné comprenant un mécanisme très précis de règles à graduations variées lui permet de programmer différents tempos simultanés. Nancarrow va alors explorer de nouvelle possibilités polyrythmiques en combinant des structures contrapuntiques complexes.

• CHIROPTÈRES ou CHAUVES-SOURIS

  • Écrit par Robert MANARANCHE
  • 12 035 mots
  • 2 médias

  Les incisives supérieures en forme de gouge servent à perforer l'épiderme, la langue se rabat sur les lèvres inférieures en formant une sorte de gouttière par laquelle le sang est aspiré. La salive contient une substance anticoagulante. Hibernation Un dernier trait remarquable de la biologie des Chiroptères mérite d'être évoqué : leur aptitude à l'hibernation.

• CYANOBACTÉRIES ou CYANOPHYCÉES, anc. ALGUES BLEUES

  • Écrit par Pierre BOURRELLY et Jean Claude LEFEUVRE
  • 14 907 mots
  • 3 médias

  Elles peuvent perforer les coquilles calcaires, carier les rochers (galets sculptés du lac d'Annecy) ou, au contraire, édifier des tufs. Les Cyanobactéries peuvent vivre dans les eaux polluées ou les vases riches en hydrogène sulfuré. Ainsi Oscillatoria rubescens est un excellent indicateur biologique qui apparaît et forme des fleurs d'eau de couleur rouge, très spectaculaires, dans les lacs alpins en voie de pollution.

• MOMIES, Égypte

  • Écrit par Françoise DUNAND et Roger LICHTENBERG
  • 25 888 mots
  • 6 médias

  L'éviscération crânienne Il s'agit de l'ablation du cerveau par la voie nasale au moyen d'une tige de métal (bronze) recourbée que l'opérateur enfonçait dans la narine gauche de façon à perforer le toit des fosses nasales (ethmoïde) et à accéder directement à la cavité crânienne. Le cerveau désagrégé à l'aide de la tige métallique était progressivement extirpé du crâne.