Perler
- Verbe à l'infinitif
Définition
- (vieilli) réaliser avec beaucoup de soin
- chanter ou jouer en détachant bien chaque son
- former des petites gouttes
- débarrasser un grain de céréale de ses pellicules externes
"perler" dans l'encyclopédie
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PERL MARTIN LEWIS (1927-2014)
- Écrit par Bernard PIRE
- 2 275 mots
- 1 média
Perl reçut pour sa contribution essentielle le prix Nobel de physique en 1995, prix partagé avec Frederick Reines qui avait découvert le neutrino dans les années 1950. Il a aussi obtenu le prix Wolf en 1982. Martin Lewis Perl est mort le 30 septembre 2014 à Palo Alto (Californie).
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LE MAL N'EXISTE PAS (R. Hamaguchi)
- Écrit par Adrien GOMBEAUD
- 5 672 mots
Le savoir-faire de l’un, la maladresse de l’autre et le tranchant de la lame font de chaque coup de hache un pas de plus vers le sang qui ne tardera pas à perler et la sauvagerie qui n’attend que de jaillir. Et pourtant, « le mal n’existe pas ». C’est là toute la richesse et l’énigme de ce film. Dans un premier temps, il est bien là sous nos yeux : les investisseurs, des pollueurs avides d’argent sont du côté du mal.
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NERVAL GÉRARD DE (1808-1855)
- Écrit par Pierre-Georges CASTEX
- 14 453 mots
Il lui arrive même quelquefois, pour reprendre son propre terme, si expressif, de « perler » ; il associe précieusement des mots comme les perles d'un collier ; chacun brille d'un éclat propre, mais leur pouvoir suggestif est multiplié, parce qu'ils se fondent tous dans l'harmonie de la phrase : « ... Adrienne, fleur de la nuit éclose à la pâle clarté de la lune, fantôme rose et blond glissant sur l'herbe verte à demi baignée de blanches vapeurs.
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ANDERSEN HANS CHRISTIAN (1805-1875)
- Écrit par Régis BOYER
- 20 047 mots
- 1 média
On cite une comédie : La Nouvelle Chambre de l'accouchée (Den nye Barselstue, 1850) ; des comédies féeriques : Bouquet de la chance (Lykkens Blomst), Plus que des perles et de l'or (Mer end Perler og Guld), Ole, le marchand de sable (Ole, Lukkøje), Hyldemor, dont il a dit lui-même qu'elles étaient destinées « aux enfants et aux âmes enfantines » ; deux grandes pièces : Le Mulâtre (Mulatten) et La Petite Mauresque (Maurerpigen, 1840), qui n'eurent aucun succès et que la critique éreinta ; un livret d'opéra, enfin, La Petite Kirsten (Liden Kirsten), dont la musique est de J.
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ANTHROPOMORPHISME
- Écrit par Françoise ARMENGAUD
- 41 488 mots
- 1 média
On raconte que, lorsqu'on arrachait de terre le « petit homme planté », il « poussait des gémissements et ses radicelles, extirpées, laissaient perler des gouttes de sang ; l'on pouvait, à la suite de certaines cérémonies magiques, la douer de toutes les facultés d'un être humain ». Les golems se rencontrent dans la tradition cabaliste : pétri avec de l'argile rouge à l'imitation de Dieu dans la Genèse, le golem a d'abord l'aspect et la taille d'un enfant de dix ans ; le magicien écrit sur son front le mot vie ; aussitôt doué de respiration, de mouvement, de sensibilité, le golem devient esclave docile ; mais sa croissance, très rapide, est sans limite ; le seul remède est alors de substituer sur son front le signe de mort à celui de vie, et le golem retourne à l'inerte.