Perpétué
- Adjectif masculin singulier
- Verbe au participe passé masculin singulier
Définition
- continué
Forme dérivée du verbe « perpétuer »
"perpétué" dans l'encyclopédie
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TARASQUE LA
- Écrit par Guy BELOUET
- 3 260 mots
L'assimilation de la tarasque domptée à des précédents mythologiques connus (Thésée et le Minotaure, friand, lui aussi, de jeunes humains ; saint Georges et le dragon ; Persée délivrant Andromède livrée, elle aussi, à un monstre « amphibie ») et la familiarité de ces thèmes iconographiques antiques expliquent aisément l'insertion de cette légende dans le bestiaire roman, et son succès, perpétué dans une tradition locale.
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MARI, ethnie
- Écrit par Charles URJEWICZ
- 4 831 mots
Dans la tradition mari, le souvenir de princes aux faits d'armes glorieux s'était perpétué, provoquant la formation d'élites clano-tribales dans une ethnie où l'existence de la féodalité n'était pas évidente. À l'époque du khānat de Kazan, certains de ces princes s'allièrent aux classes possédantes de la société tatare. Puis, dans le cadre de l'État russe, ils s'intégrèrent progressivement à la noblesse russe.
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NEITH
- Écrit par Yvan KOENIG et Encyclopædia Universalis
- 1 637 mots
- 1 média
Son culte est perpétué de la préhistoire à la fin de l’Ancien Empire puis perd de sa vigueur jusqu’à l’avènement des souverains saïtes sous la XXIVe dynastie. Sa faveur fut particulièrement grande sous la XXVIe dynastie, en raison de l'ascension des princes de Saïs, dans le Delta. À Esna, eIle est adorée au côté de Khnoum. Elle sera identifiée à Athéna par les Grecs.
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GONGEN STYLE
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 623 mots
Ce style s'est perpétué dans les mausolées des shōgun ultérieurs, à Nikkō et à Ueno ainsi que dans ceux qui furent édifiés dans diverses provinces, à la mémoire des grands daimyō.
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YAKṢA
- Écrit par Jean VARENNE
- 2 023 mots
Ces derniers, dont l'existence est attestée dès les textes les plus anciens du Veda et dont le culte s'est perpétué sans interruption jusqu'à nos jours, hantent de préférence le domaine végétal (principalement les arbres), dont ils semblent être les gardiens. Ce ne sont pourtant pas de simples faunes, mais des dieux mineurs qui volent dans les branches à la manière des oiseaux, chantent et dansent, portent des guirlandes et se manifestent aux hommes de leur choix comme de merveilleuses apparitions lumineuses (tel est le sens premier du mot sanskrit yakṣa) dont la beauté ravit le cœur.