Perrière
- Nom féminin singulier
Définition
- en histoire, machine de guerre médiévale servant à lancer des pierres
- carrière d'où est extraite l'ardoise en Anjou
"perrière" dans l'encyclopédie
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NIMIER DE LA PERRIÈRE ROGER (1925-1962)
- Écrit par Jean-Pierre ÉNARD
- 3 431 mots
Roger Nimier de la Perrière commence en effet très tôt sa carrière. Élève brillant, il est lauréat du Concours général de philosophie. Il passe une licence et s'engage, en 1944, dans le régiment du 2e Hussards. Il publie son premier roman à vingt-trois ans : Les Épées (1948). Le personnage principal, François Sanders, passe de la Résistance à la collaboration et se trouve pris pour un héros national à la Libération.
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EMBLÈMES LIVRES D'
- Écrit par Claudie BALAVOINE
- 4 347 mots
de La Perrière (1539), G. Corrozet (1540), F. Guéroult (1550), plus faible chez les latinistes B. Aneau (1550) et P. Coustau (1555). D'abord jeu culturel, l'emblème devient dès la fin du siècle instrument d'édification. Au xviie siècle, les jésuites, en particulier P. Le Moyne, le plus clair, puis J.-F. Ménestrier, le plus exhaustif, exploitent et théorisent le genre.
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LYONNAIS POÈTES
- Écrit par Ian Dalrymple McFARLANE
- 11 607 mots
de La Perrière) ; mais elle peut déteindre aussi sur la poésie amoureuse de Maurice Scève (Délie, 1544). Lyon a bénéficié de cette vogue en partie parce que bon nombre des imprimeurs se spécialisaient alors dans l'illustration. Au début de la Renaissance, la littérature évolue souvent sous l'égide de la poésie néo-latine, qui peut charrier des éléments classiques aussi bien qu'étrangers ; des poètes de premier plan ont écrit en latin et en vulgaire (Du Bellay, Pétrarque).