Petites-filles
- Nom féminin pluriel
Définition
- filles du fils ou de la fille pour les grands-parents
"petites-filles" dans l'encyclopédie
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LA PETITE-FILLE (B. Schlink) Fiche de lecture
- Écrit par Pierre DESHUSSES
- 6 019 mots
- 1 média
Plus de vingt-cinq ans après Le Liseur, Bernhard Schlink nous offre, avec La Petite-Fille (Gallimard, 2023), un autre grand roman, toujours traduit par Bernard Lortholary, sur les déchirures et les failles qui ne cessent de traverser l’Allemagne d’après-guerre. Comme souvent chez cet auteur né en 1944, si l’histoire reste très présente, il est moins directement question cette fois du nazisme que de la division de l’Allemagne et surtout des conséquences de la réunification.
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GREENAWAY KATE (1846-1901)
- Écrit par Laura NOESSER
- 4 381 mots
Traduits et exportés dès leur parution, constamment réédités, ils sont faits peut-être pour les petites filles qui ne veulent pas grandir.
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SÉGUR SOPHIE ROSTOPCHINE comtesse de (1799-1874)
- Écrit par Marc SORIANO
- 5 297 mots
Ce goût piquant de féminisme explique aussi le succès persistant de ses livres auprès des petites filles. Quelques éditeurs pour enfants s'obstinent à offrir ses livres au jeune public dans leur version intégrale. Sur cet exemple, on mesure mieux à quelles absurdités peut mener dans la pratique l'application de certaines positions théoriques qui paraissent parfaitement respectables : ici le respect que mérite le texte original d'un artiste.
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HANDLER RUTH (1916-2002)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 709 mots
En 1959, Ruth Handler invente la poupée Barbie (du nom de sa fille Barbara), dont les formes matures très suggestives suscitent à la fois la révolte des féministes et l'engouement des petites filles. Plus d'un milliard d'exemplaires vendus de ce fétiche décliné en de multiples rôles (Barbie médecin, astronaute, etc.) en font le best-seller mondial du jouet.
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FOUJITA LÉONARD ou FUJITA TSUGUHARU (1886-1968)
- Écrit par Maïten BOUISSET
- 1 133 mots
Peintre des chats, des petites filles, des jolies femmes, Foujita, ce personnage pittoresque de la bohème de Montparnasse puis du Tout-Paris, converti au catholicisme en grand tapage, a fait plus souvent l'objet de l'attention des échotiers que de celle des critiques d'art. Peintre authentique cependant, il fut un élève très doué de l'École des beaux-arts de Tōkyō, et ses œuvres entrent dès 1911 dans les collections de l'empereur.