Peu ou prou
Définition
- plus ou moins
"peu ou prou" dans l'encyclopédie
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CONGRÈS DE VIENNE, en bref
- Écrit par Olivier COMPAGNON
- 1 082 mots
- 1 média
Dans le souci d'établir un équilibre entre les grandes puissances, le congrès de Vienne crée les conditions d'une paix durable qui, peu ou prou, va perdurer jusqu'à la conflagration de 1914. Mais, en consacrant les principes de légitimité et de restauration monarchique au mépris du droit des nationalités, les hommes de Vienne, à l'instar de l'Autrichien Metternich, jettent les bases des révoltes libérales qui, en 1848, secoueront l'Europe entière.
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UNIFICATION DU JAPON SOUS LES TOKUGAWA
- Écrit par Olivier COMPAGNON
- 1 156 mots
- 1 média
Mais cette période correspond également à une phase de repli du Japon sur lui-même : le refus obstiné de tout contact commercial ou culturel avec l'Occident perdure peu ou prou jusqu'à l'accession au pouvoir du futur empereur Meiji, en 1867, qui met un terme au shogunat.
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CORÉE GUERRE DE (1950-1953)
- Écrit par Olivier COMPAGNON
- 1 464 mots
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Après deux ans de négociations, un armistice est signé le 27 juillet 1953 à Panmunjom : il fixe une nouvelle ligne de démarcation proche du 38e parallèle et entérine peu ou prou la situation initiale. Toutefois, la guerre de Corée marque l'extension de la guerre froide à l'Asie, renforce l'image internationale de la Chine populaire qui a su faire face à l'armée nord-américaine, et décrédibilise l'O.
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ANNE D'AUTRICHE (1601-1666) reine de France
- Écrit par Jean MEYER
- 1 470 mots
- 1 média
Jusqu'en 1643, elle chaperonne l'opposition, participe peu ou prou à tous les « complots », comme ceux de Chalais ou de Cinq-Mars, entretient avec son frère Philippe IV une correspondance secrète qui témoigne de plus d'inconscience que de réelle trahison. Tout change avec Mazarin. Elle se laisse aveuglément guider par l'« Italien », par celui qui fut peut-être l'un des plus brillants hommes d'État du xviie siècle, au plus grand bénéfice de la monarchie française.
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FUJIWARA NO TEIKA ou SADAIE (1162-1241)
- Écrit par René SIEFFERT
- 2 120 mots
Si tout Japonais est poète peu ou prou, c'est à Teika qu'il le doit tout d'abord.