Phoque
- Nom masculin singulier
Définition
- en zoologie, mammifère pinnipède des mers froides, de la famille des phocidés
- fourrure de ce mammifère
Expressions autour de ce mot
- comme un phoque : excessivement, comme un phoque qui souffle
- souffler comme un phoque : respirer avec effort et en faisant du bruit
"phoque" dans l'encyclopédie
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PHOQUE
- Écrit par Marie-Claude BOMSEL
- 2 550 mots
- 2 médias
Les phoques-moines (genre Monachus) sont au bord de l'extinction ; le phoque gris (Halichœrus grypus) et le phoque commun (encore appelé veau marin) sont menacés.
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OURS BLANC ou OURS POLAIRE
- Écrit par Marie-Claude BOMSEL
- 2 412 mots
- 2 médias
Carnivores, les ours blancs se nourrissent de phoques (phoque marbré, phoque barbu à capuchon) – constituant 90 p. 100 de leur alimentation – qu'ils attrapent sur la banquise ou qu'ils tirent à travers un trou de glace lorsque ceux-ci viennent y respirer. Bons nageurs, ils capturent aussi des poissons ; ils chassent même les oiseaux, les rennes ainsi que les bœufs musqués lorsque la glace se retire.
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DÉCOUVERTE DU GROENLAND
- Écrit par Sylvain VENAYRE
- 1 000 mots
- 1 média
Vers 870, les Vikings norvégiens occupèrent l'Islande et, à partir de là, explorèrent les mers du Nord à la recherche d'huile de phoque, de fourrures d'ours blanc ou d'ivoire de morse. Une saga rapporte qu'un certain Erik le Rouge, venant de l'est, aurait alors découvert, en 982, le sud de la « terre verte » ou Groenland. Un établissement y fut créé en 986, à Brattahlidh, et le christianisme fut introduit vers l'an 1000.
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NANOUK L'ESQUIMAU (R. Flaherty)
- Écrit par Joël MAGNY
- 1 227 mots
De ces scènes de la vie quotidienne (chasse au phoque, pêche, construction de l'igloo, déplacements constants, vente des peaux...), Flaherty tire un poème à la gloire de l'homme, sans cesse en lutte pour survivre contre et dans la nature. En se tenant au plus proche de l'événement, il crée un genre à part entière : le documentaire.
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ASHEVAK KENOJUAK (1927-2013)
- Écrit par Patricia BAUER
- 1 854 mots
Sur son conseil, Kenojuak Ashevak commence à reproduire sur papier les appliqués en peau de phoque dont elle orne des vêtements. Son esthétique propre, son univers onirique et fantastique s’inspirent du chamanisme et du bestiaire de la tradition locale. Les oiseaux, le corbeau, le hibou et les créatures mi-homme mi-animal en sont des thèmes récurrents.