Phosphorique
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- résultant de la combinaison de phosphore et d'oxygène
"phosphorique" dans l'encyclopédie
-
PHOSPHAGÈNE
- Écrit par Geneviève DI COSTANZO
- 2 087 mots
Composé phosphoré labile, découvert dans le muscle, en 1927, par Eggleton et dénommé phosphagène parce que son hydrolyse libère une molécule d'acide phosphorique. Il a été identifié à la phosphocréatine : Les muscles contiennent, plus que les autres tissus, deux composés phosphorés riches en énergie : le phosphagène et l'adénosine triphosphate (ATP) qui disparaissent au cours de l'activité du muscle en proportion du travail accompli, d'où l'idée qu'ils sont la source de l'énergie nécessaire à la contraction.
-
LÉCITHINES
- Écrit par Geneviève DI COSTANZO
- 3 537 mots
La troisième fonction alcool est estérifiée par une molécule d'acide phosphorique, lui-même lié à une base azotée : la choline. Les lécithines sont des substances jaunes, de consistance cireuse, insolubles dans l'eau, solubles dans les solvants organiques. Au contact de l'eau, un fragment de lécithine gonfle et donne une gelée volumineuse qui par agitation se divise en suspension colloïdale d'aspect laiteux.
-
ADÉNOSINE TRIPHOSPHORIQUE ACIDE (ATP)
- Écrit par Pierre KAMOUN et Paul MAZLIAK
- 1 117 mots
L'ATP peut se décomposer en libérant un radical phosphorique et l'acide adénosine diphosphorique (ADP) ou en libérant un radical pyrophosphorique et l'acide adénosine monophosphate (AMP).
-
TODD ALEXANDER ROBERTUS (1907-1997)
- Écrit par Georges BRAM
- 3 752 mots
Un nucléotide, unité de base des acides nucléiques (constituants de la cellule vivante), est formé d'une base purique (adénine ou guanine) ou pyrimidique (cytosine, thymine ou uracile), à laquelle est rattaché par une liaison glucosidique un sucre (ribose ou désoxyribose) lié à une molécule d'acide phosphorique. L'acide phosphorique peut être libéré sous l'action d'une enzyme appropriée et se forme alors un nucléoside.
-
PARISETTE
- Écrit par Pierre LIEUTAGHI
- 1 227 mots
Elles contiennent, en outre, de l'asparagine, des acides citrique, malique, phosphorique, une résine, probablement des alcaloïdes. Antidote des poisons pour les médecins du xvie siècle, qui croyaient beaucoup aux antagonismes entre les substances délétères, et prescrite autrefois contre la folie, la parisette est effectivement antispasmodique et narcotique, entraînant à faible dose (2 baies) : gastralgie légère, migraine, somnolence ; à plus forte dose : nausées, anxiété, vomissements, diarrhée, dilatation puis contraction de la pupille, accélération puis ralentissement du cœur.