Phyto
- Interjection
Définition
- préfixe référant à plante
"phyto" dans l'encyclopédie
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AROMATHÉRAPIE
- Écrit par Jean VALNET
- 8 981 mots
- 1 média
et fait suffisamment de chiffre —, la phyto-aromathérapie est bien la thérapeutique d'avenir que certains pressentaient, tel Michel Eyquem de Montaigne pour qui, il y a quatre siècles, « les médecins pourraient tirer des odeurs plus d'usage qu'ils ne font ».
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LUMINESCENCE
- Écrit par Séverine MARTRENCHARD-BARRA
- 21 522 mots
- 6 médias
Il existe plus de 700 espèces bioluminescentes, depuis les bactéries jusqu’aux lucioles en passant par les organismes marins (phyto et zooplanctons, méduses, poissons hébergeant des bactéries bioluminescentes). Les rôles biologiques de la luminescence sont la communication (notamment liée à la reproduction), l’attraction des proies et certains mécanismes de défense (faire peur aux prédateurs, les leurrer, se camoufler, etc.
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NORD MER DU
- Écrit par Alain PERRODON et Jean-Pierre PINOT
- 24 164 mots
- 11 médias
Aussi phyto- et zooplancton sont-ils fort abondants, ce qui permet une grande richesse en poisson. La pêche est restée traditionnelle jusque vers 1950, avec une production tournée vers le poisson de consommation humaine, dans laquelle le hareng constituait la moitié des prises, le reste étant composé d'aiglefins, de morues (sur le Dogger Bank et au large des côtes d'Écosse) et de poissons plats.
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COMMUNICATION CELLULAIRE
- Écrit par Yves COMBARNOUS
- 36 256 mots
- 7 médias
Chez les végétaux, diverses hormones existent qui agissent, soit à très courte distance, tel l’éthylène (une hormone gazeuse de réponse aux stress et de maturation des fruits), ou à distance, telles l’auxine ou les gibbérellines, qui contrôlent la croissance, et différents phyto-œstrogènes. Chez les animaux, il existe un très grand nombre d’hormones tant chez les vertébrés que chez les autres groupes.
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AFRIQUE (Structure et milieu) Biogéographie
- Écrit par Théodore MONOD
- 31 363 mots
- 19 médias
Les types de distribution Si l'on peut s'attendre à un certain degré de correspondance – parfois très étroite d'ailleurs – entre les territoires phyto- et zoogéographiques puisque l'animal dépend, directement ou non suivant les cas, de la plante qui, elle, subit plus étroitement les contraintes du milieu physique (climat et sol), aucune division biogéographique de l'Afrique ne saurait également convenir à tous les groupes : oiseaux et scorpions, cloportes et chauves-souris, batraciens et papillons ont des possibilités de déplacement propre ou des modes de dispersion trop divers pour qu'un schéma unique généralisé puisse couvrir tous les cas.