Piétonne
- Nom féminin singulier
- Adjectif féminin singulier
Définition
Employé comme adjectif
- se déplaçant à pied
- réservée aux piétons (piétonnière)
Employé comme nom
- femme se déplaçant à pied
"piétonne" dans l'encyclopédie
-
CRÉPEAU MICHEL (1930-1999)
- Écrit par Bruno DIVE
- 3 327 mots
Dès 1973, il met en place la première zone piétonne de France et, en 1974, un système de vélos à la disposition de la population. Ce pionnier de l'écologie municipale innove encore en 1997 avec la « journée sans voitures ». Élu député de la Charente-Maritime en 1973 (il ne sera battu qu'une seule fois, en 1993), Michel Crépeau a participé un an plus tôt à la fondation du Mouvement des radicaux de gauche (M.
-
HANOVRE
- Écrit par Tim FREYTAG
- 4 648 mots
- 1 média
Parallèlement, une zone piétonne est créée dans le centre-ville et les transports publics sont développés : un métro est construit. L’application des principes de l’urbanisme fonctionnaliste, énoncés dans la charte d’Athènes (1933), et l’ampleur des opérations de transformation urbaine font de la ville à l’époque une référence en matière d’urbanisme.
-
FÈS
- Écrit par Anne-Adélaïde LASCAUX
- 4 594 mots
- 2 médias
Le tout forme la médina, entièrement piétonne et inscrite depuis 1981 au patrimoine mondial de l’UNESCO, qui reconnaît à la fois le patrimoine archéologique et architectural de la ville, mais aussi la culture, les modes de vie et les savoir-faire qui y perdurent. Fès a longtemps été le cœur économique, culturel et religieux du royaume du Maroc, et est considérée comme un modèle de la culture citadine marocaine.
-
CRÉTEIL
- Écrit par Jean STEINBERG
- 5 279 mots
- 1 média
La conception obéit aux principes fonctionnels du zonage et de la séparation des circulations automobile et piétonne (urbanisme de dalle). La seconde (3 000 logements), réalisée dans les années 1980-1990, s'étend au sud de la commune dans le secteur dit « du Port », le long du lac ; on y a pratiqué un urbanisme « postmoderne », plus traditionnel que le fonctionnalisme de la première tranche.
-
BRUTALISME, architecture
- Écrit par François CHASLIN
- 6 121 mots
- 1 média
Dans leur projet pour Berlin-Hauptstadt (1958), puis dans celui de Koweït (1969), ils proposèrent des réseaux de circulation piétonne libérés du sol traditionnel et multipliant passerelles et escalators. Le problème de la circulation est une des marques essentielles de l'urbanisme brutaliste tel que le conçurent des architectes comme Van Eyck, Candilis, les Smithson ou Bakema.