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Possible

  • Nom masculin singulier
  • Adjectif masculin singulier

Définition

Employé comme adjectif

  1. réalisable
  2. éventuel, probable
  3. familièrement, passable, acceptable

Employé comme nom

  1. ce qui est réalisable, non contradictoire avec le réel
  2. ce qu'une personne peut, ce qui est faisable
  3. chose qui peut advenir, chose qu'on peut faire

Expressions autour de ce mot

  1. c'est possible  : peut-être
  2. au possible  : extrêmement
  3. il est possible que : il se peut que

"possible" dans l'encyclopédie

  • L'ÂGE DES POSSIBLES (P. Ferran)

    • Écrit par Jean COLLET
    • 8 528 mots

    À première vue, voici un film comme tant d'autres ; un film de jeune, sur les jeunes, encore... À la réflexion, il s'agit d'un joyau dont la singularité se révèle inépuisable. On est loin de tout, et pourtant on se sent chez soi, en terrain familier. On dirait que Pascale Ferran s'est d'abord appliquée à reconnaître les domaines perdus, abandonnés, du cinéma français, avant de se décider à les cultiver.

  • MODALITÉS, logique

    • Écrit par Pascal ENGEL
    • 41 644 mots
    • 1 média

    En d'autres termes, dans S4, tout ce qui est en fait nécessaire est nécessairement nécessaire, et tout ce qui est possible en fait pourrait être possible, ce qui est beaucoup plus fort que ce qu'on asserte dans T. On peut aussi soutenir que tout ce qui est possible est nécessairement possible, et que tout ce qui pourrait être nécessaire est en fait nécessaire.

  • GOLDMANN LUCIEN (1913-1970)

    • Écrit par André AKOUN
    • 2 921 mots

    Mais cette conscience n'est pas la conscience réelle, découverte empiriquement, des agents sociaux, c'est la « conscience possible » (terme qu'il reprend à Lukács). Cette conscience possible est celle qui résulte nécessairement de l'être historique du sujet social ; elle est une structure déductible de la position du sujet dans la totalité historique et du rapport qu'il entretient avec celle-ci.

  • KEPLER CONJECTURE DE

    • Écrit par François LOESER
    • 2 601 mots

    Comment empiler, de la façon la plus dense possible, des sphères de même rayon dans l'espace ? Cette question est apparue il y a près de quatre siècles, à la suite de travaux de Thomas Harriot – l'assistant mathématicien de Walter Raleigh – concernant les empilements de boulets de canon. Dans un livret publié en 1611, Johannes Kepler énonce que l'empilement de sphères le plus dense possible dans l'espace est l'empilement cubique à face centré, c'est-à-dire celui qui correspond aux empilements de fruits que l'on peut apercevoir communément sur les étals des marchés.

  • JEAN DE RIPA (XIVe s.)

    • Écrit par Francis RUELLO
    • 7 950 mots

    Mais une première série de questions surgit du fait que l'essence divine implique une trinité de personnes, et notamment : Quelle connaissance les bienheureux peuvent-ils avoir de ce qui brille dans le Verbe ? Ne connaissent-ils que la seule essence divine ou, par cette essence qui est pour eux connaissance formelle, connaissent-ils également tout être possible ? L'essence divine peut-elle être pour l'intellect créé connaissance formelle de n'importe quel vrai contingent ? D'autre part, étant donné qu'on peut distinguer en Dieu, qui est immense, une pluralité de « raisons » ou de « formalités », plusieurs questions se posent encore, en particulier : est-il possible que l'essence divine soit vue intuitivement et en une seule fois ? Est-il possible que l'intellect créé voie de façon béatifique l'essence divine, sans voir l'une quelconque des émanations éternelles des personnes ? Est-il possible que l'intellect créé voie de façon béatifique l'essence divine selon l'une de ses « raisons » essentielles intrinsèques sans la voir selon une autre que la première n'inclut pas formellement ? Est-il requis pour la perfection de la vision de l'essence divine que l'on connaisse clairement tout énonciable sur le contingent ? Deux autres questions du Prologue concernent la connaissance théologique des hommes en « état de voie » : Qu'est-elle dans une lumière quelconque créée, naturelle ou surnaturelle ? L'intellect de la créature raisonnable peut-il tout d'abord avoir une connaissance théologique claire et intuitive dans une lumière naturelle ? Les Determinationes et le Prologue de la Lectura portent donc sur la nature et les conditions de la connaissance théologique sous sa double forme : celle des bienheureux (exemplaire de toute connaissance théologique) et celle de l'homme ici-bas.

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