Quadriennaux

"quadriennaux" dans l'encyclopédie

• ORACLE

  • Écrit par Marie DELCOURT
  • 10 770 mots

  Elle eut depuis 582 des jeux quadriennaux. L'oracle fut célébré par Héraclite, Pindare, Hérodote, Platon, mis en discussion par Eschyle et Euripide. Il était au centre d'une amphictyonie qui ne fit rien pour fédérer la Grèce. Son unique souci fut de maintenir le domaine du dieu indépendant de la Phocide, ce qui causa plusieurs guerres sacrées. La dernière permit à Philippe de Macédoine de s'immiscer dans les affaires de la Grèce du Nord.

• MUNICH (JEUX OLYMPIQUES DE) [1972] Contexte, organisation, bilan

  • Écrit par Pierre LAGRUE
  • 16 613 mots

  Depuis la rénovation des Jeux, il ne fut certes jamais question de « trêve olympique » ; désormais, les rendez-vous quadriennaux se dérouleront en permanence sous haute tension, et la sécurité deviendra un élément crucial des Jeux. Cependant, un autre événement passe relativement inaperçu, mais il est d'une importance fondamentale pour le mouvement olympique : après vingt ans d'un règne de monarque absolu, Avery Brundage quitte la présidence du C.

• SPORT L'année 2013

  • Écrit par Pierre LAGRUE
  • 33 493 mots
  • 3 médias

  Le calendrier sportif de l’année 2013 ne comptait aucun des rendez-vous quadriennaux majeurs : jeux Olympiques d’été ou d’hiver ; Coupe du monde de football ; Coupe du monde de rugby. L’année fut néanmoins dense, et de nombreux champions se sont distingués. Sur le plan international, citons l’athlète jamaïquain Usain Bolt, qui demeure le maître du sprint ; le basketteur américain LeBron James, vainqueur du Championnat de la N.

• COLOMBIE

  • Écrit par Marcel NIEDERGANG, Olivier PISSOAT, Clément THIBAUD et Encyclopædia Universalis
  • 75 061 mots
  • 5 médias

  La Colombie porte le nom du découvreur des Amériques. Inscrite dans les limites territoriales de l'Audience coloniale de Nouvelle-Grenade, elle a repris le nom de la Grande-Colombie de Simon Bolivar, qui comprenait aussi le Venezuela, le Panamá et l'Équateur (1821-1830). Elle s'est successivement appelée État puis République de Nouvelle-Grenade (1830-1858), Confédération Néogrenadine (1858), États-Unis de Colombie (1863) et enfin République de Colombie (1886).