Quadruplet

"quadruplet" dans l'encyclopédie

• INFORMATIQUE Principes

  • Écrit par Jacques HEBENSTREIT
  • 16 826 mots
  • 2 médias

  Comme les langages réguliers, ils sont définis par un quadruplet L = {VT, VN, C, G}, mais cette fois les règles de G sont de la forme ai → ϕ, où ai est un symbole non terminal et ϕ une suite quelconque de symboles pris dans {VT} ou {VN}. La terminologie de contexte-libre vient de ce que la règle de réécriture de ai ne dépend pas des symboles placés à gauche et à droite de ai, c'est-à-dire qu'elle ne dépend pas du contexte.

• GRAPHES THÉORIE DES

  • Écrit par Hervé RAYNAUD
  • 19 822 mots
  • 10 médias

  Graphes orientés Plus précisément, on appellera graphe orienté un quadruplet (X, U, o, e), où X désigne un ensemble appelé ensemble des sommets du graphe ; U un ensemble appelé ensemble des arcs du graphe ; o une application de U dans X appelée origine ; e une application de U dans X appelée extrémité. Cette définition, pour correcte qu'elle soit, n'offre certes pas un support bien engageant pour l'intuition.

• OPTIQUE Optique électronique

  • Écrit par Albert SEPTIER
  • 26 515 mots
  • 2 médias

  Dans le cas d'électrons, il est possible d'exciter suffisamment les lentilles d'un doublet (ou d'un quadruplet) pour obtenir un système équivalent à une lentille ronde, avec des distances focales extrêmement faibles. Théoriquement, il est possible de corriger entièrement l'aberration d'ouverture de ces lentilles en y introduisant des potentiels ou des champs supplémentaires à symétrie octopolaire.

• MATHÉMATIQUE

  • Écrit par Jean-Marie PRUVOST-BEAURAIN
  • 34 997 mots
  • 1 média

  Ainsi, même si l'on sait et comprend ce qu'est un anneau local (anneau commutatif n'ayant qu'un idéal maximal), que tout corps est un anneau et que tout corps commutatif est un anneau local, on peut rester perplexe devant l'expression « corps local », qui serait superflue pour désigner un corps commutatif : cette expression regrettable est pourtant employée par certains des plus grands mathématiciens, en sous-entendant le qualificatif « topologique », car il s'agit en fait d'un « corps topologique local » [qu'il vaudrait mieux écrire corps-topologique local, puisque ce n'est pas un corps particulier : un corps-topologique est un quadruplet (E, l, l', O) tel que (E, l, l') soit un corps et O une topologie sur E possédant certaines propriétés] et cette localisation est une propriété algébrotopologique et non algébrique seulement.

• RÉSONANCE MAGNÉTIQUE

  • Écrit par Jacques COURTIEU et Maurice GOLDMAN
  • 40 411 mots
  • 1 média

  Ainsi, le spectre d'un proton isolé consiste en une raie unique, celui d'un proton couplé à un autre proton en un doublet dont l'écart en fréquence est la constante de couplage indirect, celui d'un proton couplé à deux autres protons non équivalents est un quadruplet, et ainsi de suite. Un exemple de spectre R.M.N. de haute résolution, celui des protons de l'alcool éthylique, est présenté en c sur la figure.