Quatre-saisons
- Nom féminin invariant en nombre
Définition
- désigne une catégorie de plantes maraîchères cultivées en toutes saisons
Expressions autour de ce mot
- marchand des quatre-saisons : personne qui vend des fruits et des légumes dans la rue
"quatre-saisons" dans l'encyclopédie
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Concerto pour violon, hautbois, cordes et basse continue, VIVALDI (Antonio)
- Écrit par Alain FÉRON
- 2 336 mots
Esthétique Grâce à sa richesse inventive et à une écriture très colorée, Vivaldi est un maître de la musique descriptive ; dans les quatre premiers concertos du Cimento dell' Armonia e dell' Invenzione, qui constituent Les Quatre Saisons, il parvient par exemple à évoquer les bruits de la nature : le vent, un orage, les aboiements d'un chien... Par là même, il participe à l'éclosion d'un concept nouveau, celui d'orchestration, dont le représentant par excellence sera «l'inventeur de timbres» Hector Berlioz.
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BARSACQ ANDRÉ (1906-1973)
- Écrit par Armel MARIN
- 950 mots
Décorateur et metteur en scène français, André Barsacq, après avoir fondé en 1937 le théâtre des Quatre-Saisons avec Jean Dasté, prend la succession de Dullin à la tête du théâtre de l'Atelier en 1940. En trente années intenses de théâtre, la plupart du temps de création, il aura à l'affiche de nombreuses pièces d'Anouilh (Le Bal des voleurs, 1940 ; Antigone, 1944), Félicien Marceau, Marcel Aymé, Françoise Sagan.
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BONTEMPS PIERRE (1507 env.-apr. 1563)
- Écrit par Renée PLOUIN
- 1 497 mots
On le retrouve en 1556 à Fontainebleau, où il donne pour la cheminée de la chambre du roi un bas-relief des Quatre Saisons. Il exécute ensuite, pour le couvent des Hautes-Bruyères, le monument en marbre destiné à contenir le cœur de François Ier. L'urne est décorée de bas-reliefs allégoriques à la gloire des arts et des sciences, qui ont repris, grâce au souverain, une place importante dans le royaume.
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CARON ANTOINE (1520 env.-env. 1599)
- Écrit par Michèle GRANDIN
- 1 882 mots
- 1 média
D'autres œuvres, peintures, dessins, cartons de tapisseries, sont attribuées à Caron : La Sibylle de Tibur (Louvre), peinture où l'on retrouve le goût de l'artiste pour les architectures fantastiques ; Le Triomphe de l'Hiver (collection particulière, Paris), d'une série consacrée aux quatre saisons, et qui évoque les fêtes que donnait Catherine de Médicis.
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MORIKAGE KUSUMI (fin XVIIe s.)
- Écrit par Marie MATHELIN
- 5 251 mots
Mais il semble surtout s'être inspiré du lavis de l'époque Muromachi, imitant avec bonheur Sesshū dans son paravent des Quatre Saisons, et remontant même à Muqi dans son Sennin (Sage taoïste) et dans ses Corbeaux évoluant au-dessus de pins couverts de neige, œuvre d'une grande maîtrise. On retrouve la même inspiration dans plusieurs peintures, modelées par petites touches très chargées d'encre, où des Singes tentent de pêcher dans l'eau le reflet de la lune.