Quatre-vingt-sept
- Adjectif numérique cardinal
Définition
- nombre cardinal suivant quatre-vingt-six et précédant quatre-vingt-huit
"quatre-vingt-sept" dans l'encyclopédie
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ROUS PEYTON (1879-1970)
- Écrit par Samya OTHMAN
- 1 374 mots
Rous a alors quatre-vingt-sept ans.
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ROBERT LE PETIT dit ROBERT LE BOUGRE (XIIIe s.)
- Écrit par Marcel PACAUT
- 1 490 mots
En 1239, il envoya au bûcher, à Mont-Wimer, cent quatre-vingt-sept hérétiques et complices d'hérésie. À la suite de plaintes du clergé et des autorités civiles, le pape ordonna une enquête qu'il confia au bénédictin Mathieu Paris. Ce dernier établit la véracité des mesures abusivement brutales et illégales de Robert, qui fut relevé de ses fonctions et condamné à la prison à vie.
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MANIU IULIU (1873-1953)
- Écrit par Jean BÉRENGER
- 1 228 mots
En 1928, il forme le gouvernement et organise des élections générales où le Parti national paysan remporte trois cent quarante-neuf sièges sur trois cent quatre-vingt-sept. En 1930, il facilite le retour d'exil du roi Charles II, mais il doit démissionner en octobre de la même année. Il revient au pouvoir en 1932, mais doit l'abandonner en 1933. Maniu s'oppose à la dictature royale en 1938 et surtout à celle d'Antonescu en 1940.
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VOLLAND LOUISE HENRIETTE dite SOPHIE (1717 env.-1784)
- Écrit par Denise BRAHIMI
- 1 918 mots
Sur les cinq cent cinquante-trois lettres écrites par Diderot, il n'en reste que cent quatre-vingt-sept. La première lettre connue de Diderot à Sophie est datée du 10 mai 1759. Or, on pense que leur rencontre date de 1755. Diderot avait quarante-deux ans et Sophie dix ans de moins. Elle vivait avec sa mère, veuve d'un financier, et avec sa sœur. Pendant leurs nombreuses séparations, Diderot tenait Sophie au courant des moindres particularités de sa santé et de tous les événements de sa vie.
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CARTHAGE CONCILES DE
- Écrit par Pierre Thomas CAMELOT
- 2 214 mots
Même position au synode d'automne de 256, dont les Actes nous ont été conservés : quatre-vingt-sept évêques répètent, après Cyprien, qu'un évêque n'est responsable de ses actes que devant Dieu seul et qu'on ne peut accepter le baptême des hérétiques. Informé de ces décisions, l'évêque de Rome, Étienne, y répondit par une lettre sévère, qui semble avoir menacé d'excommunication Cyprien ainsi que Firmilien de Césarée et qui provoqua une tension pénible entre Rome et Carthage ; la mort d'Étienne (août 257) mit fin à cette tension.