Réexposition
- Nom féminin singulier
Définition
- nouvelle exposition
"réexposition" dans l'encyclopédie
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CABALETTA
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 473 mots
De ce dernier compositeur, on mentionnera notamment « Sempre libera degg'io », avec lequel Violetta clôt l'acte I de La Traviata (1853), réexposition de l'andantino « Ah, fors'è lui che l'anima », et « Di quella pira » dans Il trovatore (1853). Au xxe siècle, un exemple célèbre de cabaletta est constitué par la conclusion de l'acte I de l'opéra The Rake's Progress de Stravinski (1951), chantée par Anne Trulove, « I go, I go to him », seconde partie de l'aria « Quietly, night ».
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CAVATINE
- Écrit par Pierre-Paul LACAS
- 1 937 mots
Le mouvement se termine par la réexposition apaisante de la première mélodie.
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MENUET
- Écrit par Pierre-Paul LACAS
- 2 107 mots
Dans sa forme classique ternaire, à l'intérieur d'une sonate ou d'une symphonie, il comporte l'exposition (thème, reprise, développement, thème, reprise), le trio (même schéma), la réexposition sans la reprise, mais le plus souvent avec coda. On rencontre parfois un second trio (ainsi dans la Sérénade K. 320 de Mozart, dite Posthornserenade, où le cor de postillon éclate, d'autant plus significatif qu'inattendu, dans un second trio que le menuet n'exigeait nullement).
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Concerto pour flûte en mi mineur, BENDA (Franz)
- Écrit par Alain FÉRON
- 2 298 mots
Une de ses caractéristiques réside dans l'existence d'une cadence, intégrée dans le premier mouvement, parfois dans le deuxième, rarement dans le mouvement final : après le développement du matériau thématique et avant sa réexposition, cette cadence laisse s'exprimer l'instrument soliste. Les cadences seront longtemps improvisées par le soliste ; elles ne seront écrites par les compositeurs qu'à partir du XIXe siècle.
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Sonate en si mineur, LISZT (Franz)
- Écrit par Alain FÉRON
- 2 297 mots
Genre - Sonate cyclique La sonate classique répond au schéma suivant : exposition (parfois précédée d'une introduction lente), développement et réexposition (et, éventuellement, coda, sorte de développement final). L'évolution du genre suit deux directions, qui fondent la sonate dite cyclique : ou bien les trois mouvements sont liés par un ou plusieurs thèmes qui reviennent constamment tout en se transformant ; ou bien la synthèse des trois mouvements traditionnels est opérée dans un seul mouvement.