Réservoir
Issu de la forme : réservoir
- Nom masculin singulier
Définition
- récipient pour contenir des liquides
- lieu destiné à conserver des choses en réserve
"réservoir" dans l'encyclopédie
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TROIS GORGES BARRAGE DES
- Écrit par Claude BESSIÈRE
- 5 415 mots
- 2 médias
Toujours annoncé comme égal à 25 milliards de dollars, il atteint vraisemblablement plus de 50 milliards de dollars si l’on intègre toutes les mesures conservatoires prises pour maîtriser ses répercussions sur l'environnement, dont le nettoyage du réservoir.
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ASPHALTES
- Écrit par Bernard TISSOT
- 3 439 mots
L'origine la plus fréquente de ces dépôts est un pétrole normal qui s'est formé de façon classique par dégradation thermique du kérogène contenu dans une roche mère et par migration hors de celle-ci vers un réservoir poreux, où il a subi une dégradation chimique et biochimique, liée à l'invasion du réservoir par les eaux météoriques. Cette situation peut résulter d'une migration sur le flanc d'un bassin jusqu'aux affleurements du réservoir, ou d'un événement géologique (érosion, faille) qui met un gisement de pétrole déjà constitué en communication avec la surface.
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EUGLÉNOPHYCÉES
- Écrit par Louis JOYON et Jean-Pierre MIGNOT
- 15 739 mots
- 4 médias
Près de l'extrémité antérieure, la pellicule s'invagine à l'intérieur de la cellule, et délimite un réservoir, sorte de poche profonde, qui communique avec l'extérieur par un étroit goulot. Une vacuole pulsatile jouxte le bord ventral du réservoir et vient y déverser rythmiquement son contenu. Du fond du réservoir partent deux flagelles. Seul le flagelle locomoteur émerge du goulot.
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YANGZI, fleuve
- Écrit par Jean DELVERT, Thierry SANJUAN et Pierre TROLLIET
- 22 707 mots
- 2 médias
Le réservoir aménagé en amont du barrage des Trois Gorges a une capacité de 39,3 milliards de mètres cubes, avec un niveau d'eau normal de 175 mètres. Chaque année, avant le mois de juin, le niveau de l'eau dans le réservoir est abaissé à 145 mètres, si bien que le réservoir peut retenir jusqu'à 22,1 milliards de mètres cubes supplémentaires à la saison des pluies.
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TULARÉMIE
- Écrit par Michel PRIVAT DE GARILHE
- 4 447 mots
L'homme contracte la maladie à partir du réservoir animal de l'infection, soit directement en manipulant les carcasses de lapins infectés, soit indirectement par l'intermédiaire d'un insecte vecteur (dont le plus commun en Amérique est la mouche du daim, Chrysops discalis, d'où le nom de « fièvre de la mouche du daim » que les Anglo-Saxons donnent à cette maladie).