Résistible

"résistible" dans l'encyclopédie

• BLANCHE ROLAND (1943-1999)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 601 mots

  Au théâtre toujours, on le voit dans Le Temps et la chambre de Botho Strauss (mise en scène de Patrice Chéreau, 1991) ou La Résistible Ascension d'Arturo Ui, de Brecht (mise en scène de Jérôme Savary, 1994). Au cinéma, il parvient à donner une personnalité à des rôles souvent ingrats, notamment dans Nikita (Luc Besson, 1990), L'Otage de l'Europe (Jerzy Kawalerowicz, 1989) ou Trop belle pour toi (Bertrand Blier, 1989).

• HOPPE MARIANNE (1909-2002)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 804 mots

  Sous la direction de celui-ci, on la voit également dans La Résistible Ascension d'Arturo Ui, en 1995.

• BRECHT BERTOLT (repères chronologiques)

  • Écrit par Florence BRAUNSTEIN
  • 2 879 mots

  1941 La Résistible Ascension d'Arturo Ui. Après avoir quitté le Danemark pour la Suède puis la Finlande en 1939, Brecht émigre aux États-Unis et s'installe à Santa Monica, près de Hollywood. Là, il fréquente d'autres émigrés allemands (Schönberg, Thomas Mann, Adorno, Piscator). Il travaille à des scénarios de films, et notamment à celui de Les bourreaux meurent aussi, de Fritz Lang, sur le nazisme (1943).

• RÉTORÉ GUY (1924-2018)

  • Écrit par Armel MARIN et Encyclopædia Universalis
  • 3 049 mots
  • 1 média

  L'Opéra de quat'sous (1969), Sainte Jeanne des abattoirs (1972), prix du Syndicat de la critique dramatique et prix Dominique de la mise en scène, Maître Puntila et son valet Matti (1978), La Résistible Ascension d'Arturo Ui (1988) jalonnent comme autant de succès son travail de metteur en scène. Il crée également le Prométhée (1982) d'Heiner Müller, contribue à la redécouverte de Shaw et de O'Casey et à leur diffusion auprès d'un public populaire au plus pur sens du terme.

• WILSON GEORGES (1921-2010)

  • Écrit par Yves KIRCHNER
  • 4 289 mots

  Mais, dès 1953, il met en scène plusieurs pièces, dont La Garde-malade d'Henri Monnier (1953), Tout est bien qui finit bien de Shakespeare (1957), L'École des femmes de Molière (1958), La Résistible Ascension d'Arturo Ui de Brecht (1960), Un otage de Brendan Behan (1962), La Vie de Galilée de Brecht (1963). Le cinéma le requiert également, mais dans de petits rôles : il est le capitaine Georges dans Les Hussards (1955) d'Alex Joffé, Jules Hauduin dans La Jument verte (1959) de Claude Autant-Lara, l'aumônier du Carmel dans Le Dialogue des carmélites (1960) de Philippe Agostini et Raymond Léopold Bruckberger.