Révérence

"révérence" dans l'encyclopédie

• YOUNG WILLIS LESTER dit LESTER (1909-1959)

  • Écrit par Alain GERBER
  • 1 634 mots
  • 1 média

  Souvent décrié, le romantisme californien des années cinquante n'est qu'une énorme révérence au lyrisme à la fois tendre et bouleversant du « Pres », encore qu'il n'en suppose point la détresse profonde. Il n'est pas jusqu'aux disciples avérés de Coleman Hawkins qui n'aient subi, à des degrés divers, l'influence de cet art.

• DYAUS

  • Écrit par Jean VARENNE
  • 1 623 mots

  Relégué à l'arrière-plan du monde divin, Dyaus n'est plus l'objet que d'une révérence lointaine ; il ne subsiste dans le culte védique qu'à titre de vestige et disparaît complètement dans l'hindouisme classique.

• PARALLÈLEMENT, Paul Verlaine Fiche de lecture

  • Écrit par Guy BELZANE
  • 5 821 mots
  • 1 média

  Les sept poèmes regroupés sous le titre « Révérence parler », écrits entre 1873 et 1875 durant le séjour à la prison de Mons, étaient prévus à l'origine pour le recueil Cellulairement, finalement abandonné. Ils ont déjà été publiés en 1885 dans la revue Lutèce. Enfin, « Lunes », la dernière section, et la plus longue, regroupe vingt-quatre poèmes, sans véritable unité, et qui proposent un résumé des thèmes et des tons verlainiens.

• ISAAC JOGUES saint (1607-1646)

  • Écrit par Jean-Robert ARMOGATHE
  • 1 856 mots

  En 1646, ses supérieurs, ayant besoin d'un négociateur qui connaisse bien les Iroquois pour une mission de paix auprès d'eux, désignent le père Jogues ; celui-ci, au reçu de son ordre de mission, répond le 2 mai 1646 : « Croiriez-vous bien qu'à l'ouverture de la lettre de Votre Révérence mon cœur au commencement a été saisi de crainte que ce que souhaite et doit extrêmement priser mon esprit n'arrivât ? La pauvre nature qui se souvient du passé a tremblé, mais Notre Seigneur par son bonté y a mis et mettra encore davantage le calme.

• ASURA

  • Écrit par Jean VARENNE
  • 2 063 mots

  Varuna, Mitra, d'autres encore sont appelés « asuras », avec révérence. Mais, justement, la royauté universelle d'Indra (le déva par excellence) est le résultat d'une usurpation : le dieu fils a détrôné son père (or, Varuna est constamment appelé le « Père » dans les hymnes du Rig-Véda), tout comme Zeus assura sa puissance en combattant les Titans et son propre père.