Rabbinique
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- en religion, relatif aux rabbins, chef religieux, ministre du culte juif
"rabbinique" dans l'encyclopédie
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RABBIN
- Écrit par Ernest GUGENHEIM
- 6 489 mots
L'expression exacte serait plutôt hatarat horaa (permission d'enseigner) ; selon une loi non écrite mais observée universellement, il était interdit de confier un poste rabbinique à quiconque, fût-il réputé pour sa science, ne pouvait présenter un tel diplôme. Cette mesure correspond à la recommandation du Talmud (Sanhédrin, 5b) : « Qu'un disciple n'enseigne pas sans l'autorisation de son maître.
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RABIN YITZHAK (1922-1995)
- Écrit par Claude KLEIN
- 5 385 mots
- 4 médias
La popularité de Rabin ne résiste pas longtemps à l'épreuve du pouvoir. La déliquescence du Parti travailliste est manifeste. Une série de scandales secoue le parti, et certains de ses dirigeants sont compromis dans plusieurs scandales financiers. Rabin lui-même, convaincu d'avoir conservé illégalement un compte bancaire aux États-Unis longtemps après son retour de mission, doit se mettre en congé politique.
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HALAKHA
- Écrit par Michel GAREL
- 2 232 mots
La halakha constitue donc tout le système légal du judaïsme (par opposition à l'haggadah, nom donné au domaine non légal, particulièrement celui de la littérature rabbinique) et elle embrasse les relations personnelles, sociales, nationales, internationales, ainsi que toutes les autres pratiques et observances du judaïsme. L'étude de la halakha, pendant la période rabbinique et par la suite, constitua le devoir religieux suprême.
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GERSHOM DE METZ (960 env.-1028)
- Écrit par Gérard NAHON
- 2 329 mots
Gershom est regardé comme la première autorité rabbinique de l'Occident médiéval.
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ZUNZ LEOPOLD (1794-1886)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 613 mots
Il sera tour à tour prédicateur dans une congrégation, rédacteur en chef d'un journal (1824-1831), enseignant et directeur du séminaire rabbinique de Berlin (1840-1850). Son texte fondateur Etwas über die rabbinische Literatur (1818, « De la littérature rabbinique ») jette les bases de la « science du judaïsme » (Wissenschaft des Judentums) et révèle pour la première fois au public la portée et la beauté de la littérature juive postbiblique.