Raboter
- Verbe à l'infinitif
Définition
- en menuiserie, dresser ou aplanir avec un rabot
- usiner en surface
- familièrement, frotter rudement
"raboter" dans l'encyclopédie
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MACHINES-OUTILS (repères chronologiques)
- Écrit par Olivier LAVOISY
- 1 336 mots
1751 Machine à raboter du Français Nicolas Focq. 1775 Machine à aléser de l'Anglais John Wilkinson. 1795 Tour à fileter du Français Senot. 1797 Tour parallèle de l'Anglais Henry Maudslay. 1798 Brevet pour un tour à fileter de l'Américain David Wilkinson. 1814 Raboteuse de l'Anglais James Fox. 1815 Raboteuse de l'Anglais Richard Roberts. 1820 Raboteuse de l'Anglais Joseph Clément.
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BRAMAH JOSEPH (1748-1814)
- Écrit par Bruno JACOMY
- 2 498 mots
- 1 média
Inventeur prolixe, Bramah déposera dix-huit brevets, dont une machine à raboter le bois, une pompe à incendie (dont un exemplaire subsiste aujourd'hui au musée des Arts et Métiers), une pompe à bière, une machine pour imprimer et numéroter les billets de banque, ou encore un stylo plume à réservoir. Joseph Bramah est mort le 9 décembre 1814 à Londres.
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QUINE WILLARD VAN ORMAN (1908-2000)
- Écrit par Françoise ARMENGAUD
- 8 623 mots
« La tâche, écrit Quine à ce propos dans Word and Object, est de rendre explicite ce qui a été laissé tacite et de rendre précis ce qui a été laissé vague ; la tâche est d'exposer et de résoudre les paradoxes, de raboter les aspérités, de faire disparaître les vestiges des périodes transitoires de croissance, de nettoyer les bidonvilles ontologiques.
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MACHINISME
- Écrit par Bertrand GILLE et Pierre NAVILLE
- 37 334 mots
- 5 médias
Ainsi en est-il de la machine à raboter de Roberts (1817), du tour manège de J. G. Bodmer (1839), de la normalisation du filetage des vis par Joseph Whitworth (1841), du tour revolver à huit outils de John Fitch (1845). Il faut signaler les essais de machines à coudre par B. Thimonnier en France (1829), par Elias Howe aux États-Unis (1845). Il convient de noter l'importance de machines nouvelles, les machines agricoles.
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MATÉRIAUX
- Écrit par François DAGOGNET
- 36 442 mots
N'allie-t-il pas à la fois la dureté et la possibilité d'être fendu ? N'est-il pas suffisamment tendre pour qu'on puisse l'évider, le tailler, le raboter, bref le façonner ? N'est-il pas également flexible ou déformable, en même temps que résistant ? On ne devrait d'ailleurs pas traiter du bois en général tant il varie selon les essences des arbres d'où on l'a extrait.