Ram
- Nom masculin singulier
Définition
- navire de combat en usage pendant la guerre de Sécession
"ram" dans l'encyclopédie
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ROY RĀM MOHAN (1772-1833)
- Écrit par Jean VARENNE
- 1 694 mots
Rām Mohan Roy se prépara à un emploi de fonctionnaire à la cour des souverains moghols, ce qui le conduisit à étudier dans sa jeunesse non seulement le sanskrit, mais aussi le persan, l'arabe et, plus tard, l'anglais. Divers incidents firent de lui un adversaire déterminé de l'intolérance religieuse ; ayant eu l'occasion d'assister au « sacrifice » forcé d'une veuve (qui, selon la coutume de la satī, fut brûlée vive sur le bûcher funéraire de son mari), il décida de « réformer » l'hindouisme, c'est-à-dire, dans son esprit, de le rapprocher le plus possible du christianisme, tel qu'il le voyait pratiqué par les missionnaires protestants.
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KABĪR (1440-1518)
- Écrit par Charlotte VAUDEVILLE
- 14 641 mots
Les vishnouites, d'ailleurs, revendiquent Kabīr, parce que les noms qu'il donne de préférence à Dieu : Rām, Hari, Mādhao, etc. sont des noms vishnouites, et parce qu'il partage la foi vishnouite dans le pouvoir purificateur et sauveur du Nom divin. La tradition hindoue affirme que Kabīr, bien que musulman, fut le disciple du saint vishnouite Rāmānand à qui il devrait sa dévotion au « Nom de Rām ».
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Lover man, VAUGHAN (Sarah)
- Écrit par Eugène LLEDO
- 1 714 mots
Le standard* de jazz qu'est Lover Man – écrit en 1941 par Jimmy Davis, Roger «Ram» Ramirez et Jimmy Sherman – a été enregistré et interprété sur scène, notamment, par des chanteuses comme Billie Holiday, des pianistes comme Bill Evans ou Bud Powell, des saxophonistes comme Charlie Parker ou Stan Getz. Avec une voix très en avant dans le mixage, cette version lente met en valeur les qualités d'interprétation de Sarah Vaughan, en particulier son legato et son vibrato, parfaitement utilisés à des fins expressives.
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BRĀHMO SAMĀJ
- Écrit par Jean VARENNE
- 2 461 mots
Le premier à tenter cette réforme fut un brahmane bengali du nom de Rām Mohan Roy (1772-1833). Élevé pour devenir un fonctionnaire de la cour du Grand Moghol, Roy apprit plusieurs langues (dont le persan, l'anglais et l'arabe) ; fonctionnaire, il fit la connaissance de divers intellectuels indiens et fréquenta des Européens. En 1814, il abandonna son emploi pour se consacrer à son œuvre spirituelle, et il fonda successivement diverses associations avant de créer en 1828 le Brāhmo Samāj (nom qu'il traduisit lui-même par l'expression anglaise de « Society of God »), l'objectif de cette société étant d'apprendre aux gens de bonne volonté comment honorer Dieu sans idolâtrie.
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AYUTHYA
- Écrit par Jean BOISSELIER
- 2 337 mots
- 2 médias
Le principal et le plus ancien, Wang Luang, occupait la partie nord de la cité et à proximité s'élevaient les principaux temples : Wat Pra Ram (1369), Wat Mahathat (1384), Wat Rājapūraṇa (1424), Wat Si Sanpet (1492), le plus important de tous. Aujourd'hui plus ou moins ruinés, ces temples avaient été agrandis et restaurés à plusieurs reprises. Parmi les fondations extra-muros, il faut signaler : Wat Phu Khao Thong, vaste stūpa de style « môn » construit par les Birmans après leur victoire de 1569 et restauré en 1745 dans le style « thai » ; Wat Yai Chai Mongkon, stūpa édifié par le roi Naresuen le Grand en 1592 pour célébrer la défaite birmane de Nong Saray.