Rassasiement

"rassasiement" dans l'encyclopédie

• SANŪSĪ ABŪ ‘ABD ALLĀH MUḤAMMAD AL- (mort en 1490)

  • Écrit par Roger ARNALDEZ
  • 1 982 mots

   » De même, à propos des jugements d'expérience, il établit cette classification qui rappelle les tables de présence et d'absence de François Bacon : lien d'une existence avec une existence (rassasiement et acte de manger) ; d'une non-existence avec une non-existence (non-rassasiement et fait de ne pas manger) ; d'une existence avec une non-existence (la faim et le fait de ne pas manger) ; d'une non-existence avec l'existence (l'inexistence de la faim et le fait de manger).

• OBÉSITÉ (psychologie)

  • Écrit par Catherine DEVIDAL
  • 6 222 mots

  En ce qui concerne l’alimentation, l’entraînement à une prise alimentaire en pleine conscience et axée sur la reconnaissance des sensations de faim, de rassasiement et de satiété semble actuellement plus prometteur que tous les régimes restrictifs préconisés à ce jour.

• CONTRÔLE CENTRAL DE L'APPÉTIT

  • Écrit par Serge LUQUET
  • 32 696 mots
  • 6 médias

  Ils assurent non seulement les processus de rassasiement et de satiété, mais participent aussi à l’élaboration des facteurs cognitifs associés à l’aliment en soi (plaisir et désir) ainsi qu’aux stratégies adaptatives de l’organisme pour gérer l’énergie, que ce soit dans les approches de recherche de nourriture, de tropisme ou dans la modulation du métabolisme en général.

• OBÉSITÉ

  • Écrit par Arnaud BASDEVANT et Cécile CIANGURA
  • 32 806 mots
  • 2 médias

  Le peptide YY, sécrété par l'intestin à la suite du repas, va entraîner le rassasiement. Cette énumération ne rend pas compte de la complexité des interactions physiologiques entre ces substances. L'équilibre énergétique est un tel enjeu pour l'organisme que l'on conçoit la nécessaire redondance entre ces systèmes. La dépense énergétique totale (D.

• ORTHODOXE ÉGLISE

  • Écrit par Olivier CLÉMENT, Bernard DUPUY et Jean GOUILLARD
  • 128 513 mots
  • 1 média

  L'Église orthodoxe est l'une des trois expressions majeures du christianisme. Elle reste pourtant mal connue en Occident. Si son destin est d'une grande continuité spirituelle marquée par la fidélité aux Pères, il présente en effet d'étranges ruptures historiques, des phases d'occultation, des moments de « mort-résurrection ». À quatre reprises au moins, des forces hostiles venues d'Orient ou d'Occident ont détruit les formes culturelles dans lesquelles l'orthodoxie s'exprimait : au viie siècle, l'islam arabe ; au xiiie siècle, l'Occident latin et l'invasion mongole ; au xve siècle, l'islam turc ; au xxe siècle, le communisme.