Rater
- Verbe à l'infinitif
Définition
- manquer, échouer
- ne pas rencontrer
- ne pas atteindre
- ne pas tirer en parlant d'une arme à feu
- ne pas réussir
- ne pas saisir
- ne pas entendre ou voir quelque chose
Expressions autour de ce mot
- ne pas en rater une : commettre tous les impairs
- ne pas le rater : lui dire ses quatre vérités, lui répondre vivement
"rater" dans l'encyclopédie
-
RAT
- Écrit par Marie-Claude BOMSEL
- 3 087 mots
Le rat noir (Rattus rattus), originaire du Proche-Orient, a vraisemblablement colonisé l'Europe occidentale vers le xiie siècle, apportant avec lui les épidémies de peste. Le rat gris (Rattus norvegicus), encore appelé surmulot ou rat d'égout, provenant d'Asie, a prospéré à partir du xviiie siècle à la faveur du développement des transports maritimes.
-
RAT MUSQUÉ
- Écrit par Marie-Claude BOMSEL
- 3 469 mots
- 1 média
Ce comportement et son aspect physique font souvent confondre le rat musqué avec le castor ou le ragondin. Surtout végétarien, le rat musqué se nourrit essentiellement de roseaux, de joncs et de nénuphars. Il lui arrive cependant de consommer des mollusques, des grenouilles et des poissons. L’hiver, il écorce les arbres. Les rats musqués sont prolifiques.
-
LES TRAPÉZISTES ET LE RAT (A. Fleischer) Fiche de lecture
- Écrit par Jean-Didier WAGNEUR
- 5 838 mots
Les Trapézistes et le rat (Seuil, 2001) est le deuxième roman d'Alain Fleischer. L'auteur, né en 1944 et anthropologue de formation, s'était déjà signalé par des ouvrages sur le cinéma et la photographie. Après des recueils de nouvelles, deux romans, Quatre Voyageurs (Seuil, 2000) et Les Trapézistes et le rat, ont suffi à lui assurer une vraie place parmi les écrivains contemporains.
-
KAGEL MAURICIO (1931-2008)
- Écrit par Juliette GARRIGUES
- 5 672 mots
Le magicien Kagel, compositeur narquois des Marches pour rater la victoire, est mort le 18 septembre 2008 à Cologne.
-
AMALRIC MATHIEU (1965- )
- Écrit par Joël MAGNY
- 6 426 mots
« J'ai dû rater le train au départ et depuis je n'arrive plus à monter dedans », déclare le héros du Journal du séducteur (1995) de Danièle Dubroux. Introspection et autojustification rohmériennes qui annihilent toute velléité d'action comme pour le Paul Dédalus de Comment je me suis disputé... En lui confiant à quelques jours du tournage un personnage proche de ce qu'il a vécu, Arnaud Desplechin l'a « inventé en tant que comédien », dira Amalric.