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Receveuse

  • Nom féminin singulier

Définition

  1. celle qui reçoit
  2. celle qui a en charge la gestion d'une recette publique, les recettes d'un transport public
  3. administratrice d'un bureau de poste
  4. personne recevant du sang, un organe transplanté...

"receveuse" dans l'encyclopédie

  • GÉNOMIQUE Génome artificiel

    • Écrit par Gabriel GACHELIN
    • 11 798 mots

    Ce génome complet de Mycoplasma mycoides a ensuite été isolé de la levure et introduit dans la bactérie receveuse Mycoplasma capricolum, dont les enzymes de restriction (qui coupent l'ADN étranger) avaient été inactivées par mutagenèse. L'ADN de la cellule receveuse est ainsi détruit par les enzymes de restriction de Mycoplasma mycoides. Utilisant tout d'abord la machinerie du receveur, l'ADN de Mycoplasma mycoides l'a ensuite, au cours des générations successives, progressivement remplacée par ses propres composants.

  • INSÉMINATION ARTIFICIELLE ET PROCRÉATION MÉDICALEMENT ASSISTÉE (repères chronologiques)

    • Écrit par Jacques TESTART
    • 1 526 mots

    1891 Transfert d'embryons chez une femelle receveuse. Espèce : lapin. Pays : Grande-Bretagne. 1954 Insémination avec sperme conservé par congélation. Espèce : humain. Pays : États-Unis. 1959 Fécondation in vitro et transfert d'embryon (fivète). Espèce : lapin. Pays : États-Unis - France. Années 1960 Stimulation hormonale de la production d'ovules.

  • CLONAGE

    • Écrit par Didier LAVERGNE et Jean-Paul RENARD
    • 27 634 mots
    • 3 médias

    D'abord menés sur des batraciens, les travaux sur le clonage consistent à introduire l'information génétique d'un noyau dans une cellule receveuse (ovule) et à faire fonctionner cette chimère comme s'il s'agissait d'un œuf résultant de la fécondation. Les plus importants de ces travaux, qui fondent l'histoire du clonage, sont rappelés ici. 1934. J.

  • PARASEXUALITÉ

    • Écrit par Patrice COURVALIN, Jacques THÈZE, Patrick TRIEU-CUOT et Philippe VIGIER
    • 29 492 mots
    • 5 médias

    Ils comportent toujours le transfert d'acide désoxyribonucléique d'une bactérie donneuse à une bactérie receveuse. Les deux partenaires jouent donc des rôles dissymétriques. La parasexualité chez les bactéries est donc le transfert d'un fragment d'ADN d'une bactérie à une autre, éventuellement suivi d'une recombinaison qui substitue tout ou partie du fragment d'ADN exogène à l'ADN homologue endogène.

  • PHYTOGÉNÉTIQUE

    • Écrit par Yves DEMARLY
    • 24 962 mots

    En particulier, il est relativement facile de compléter au nombre normal la nullisomie d'une plante « receveuse » en la croisant avec un « donneur » tétrasomique pour la paire chromosomique concernée. Les équipes les plus avancées, comme celle de Riley en Angleterre, peuvent donc actuellement réaliser des hybrides où l'on substitue dans une variété un chromosome, voire parfois un fragment chromosomique, à celui d'une autre variété.

Recherche alphabétique

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