Recouvrement

"recouvrement" dans l'encyclopédie

• RETENUE À LA SOURCE

  • Écrit par Jean-Claude MAITROT
  • 3 545 mots

  Ces différentes raisons expliquent qu'à l'heure actuelle les syndicats et le patronat français restent plutôt hostiles à la mise en application de cette technique de recouvrement. Mais on relèvera que ces obstacles semblent être surtout d'ordre psychologique.

• PHONOLOGIE ARTICULATOIRE

  • Écrit par Ioana CHITORAN et Pierre HALLÉ
  • 5 718 mots
  • 2 médias

  Cette modulation affecte la durée interne des gestes (via leur raideur) et leur degré de recouvrement temporel. Les points cruciaux Le couplage dynamique des gestes et leur recouvrement variable sont les différences essentielles entre phonologie articulatoire et phonologies à représentation symbolique statique. Le couplage rend compte des variations allophoniques contextuelles, sans besoin de règles symboliques de réécriture ou encore des effets phonétiques de coarticulation.

• METROPOLIS ALGORITHME DE

  • Écrit par Bernard PIRE
  • 1 969 mots

  L'outil principal de l'algorithme est une chaîne de Markov : on tire au hasard une boule et on déplace son centre d'une distance d ; le mouvement est accepté si la nouvelle configuration des boules reste sans recouvrement. L'algorithme de Metropolis est un outil fréquemment utilisé dans les simulations numériques, mais sa vitesse de convergence n'est pas précisément connue.

• CROUPE, Ancien Régime

  • Écrit par Georges BLUMBERG
  • 522 mots

  Rémunérations que devaient verser les fermiers généraux chargés du recouvrement des impôts soit à des personnes qui leur avançaient des fonds, soit à des personnalités qui facilitaient ou étaient censées faciliter leurs opérations. Les croupes avaient fini par prendre le caractère de libéralités, de plus en plus importantes, voire de pots-de-vin, dont bénéficiaient de hauts personnages et jusqu'au roi lui-même.

• TAILLE, impôt

  • Écrit par Françoise MOYEN
  • 3 716 mots

  En toutes régions, l'établissement du rôle et le recouvrement de l'impôt (à raison de quatre « quartiers » par an) incombaient à des hommes du cru, désignés chaque année par la communauté rurale ou paroissiale. C'était une charge d'autant plus détestée que les « collecteurs » étaient responsables sur leurs propres biens et s'attiraient de surcroît de solides rancunes.