Relayeur

"relayeur" dans l'encyclopédie

• JEUX OLYMPIQUES Le relais de la flamme olympique

  • Écrit par Pierre LAGRUE et Encyclopædia Universalis
  • 11 324 mots
  • 1 média

  Puis elle est placée dans une urne et transportée par une femme habillée en prêtresse de l'Antiquité jusqu'à l'ancien stade, où celle-ci la remet au premier relayeur. Pour les Jeux d'hiver, ce cérémonial comprend une variante : la flamme est transmise au premier relayeur non pas dans le stade, mais devant le monument érigé près de celui-ci à la mémoire de Pierre de Coubertin.

• ZIMIATOV NIKOLAÏ (1955- )

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 1 996 mots

  Le 20, dernier relayeur de l'équipe d'U.R.S.S., il parachève le triomphe soviétique dans le relais 4 fois 10 kilomètres. Le 23, le programme olympique de ski de fond se termine par le très attendu 50 kilomètres. Dans cette épreuve difficile, Nikolaï Zimiatov réalise une performance exceptionnelle : il couvre la distance en 2 h 27 min 24,6 s, devançant de près de 3 minutes son dauphin, le Finlandais Juha Mieto.

• MÄNTYRANTA EERO (1937-2013)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 3 164 mots

  Puis, dans le relais 4 fois 10 kilomètres, il réalise un authentique exploit : dernier relayeur finlandais, il arrache pour son équipe la médaille de bronze à l'U.R.S.S. pour une demi-seconde, alors qu'il s'était élancé avec un retard de 26 secondes sur son concurrent soviétique. Mais, dans le 50 kilomètres qui clôt les Jeux, il ne parvient pas à se surpasser et se classe à une décevante quinzième place.

• GARMISCH-PARTENKIRCHEN (JEUX OLYMPIQUES DE) [1936] Chronologie

  • Écrit par Pierre LAGRUE
  • 6 053 mots
  • 2 médias

  Elle est l'occasion d'une empoignade émouvante : le Norvégien Bjarne Iversen, dernier relayeur de son équipe, compte 1 min 21 s d'avance sur le Finlandais Kalle Jalkanen quand il s'élance pour effectuer sa boucle de 10 kilomètres ; or Jalkanen le rejoint et le devance au sprint de 6 secondes. La Finlande s'impose donc en 2 h 41 min 33 s. Le soir, les officiels, en smoking noir et cravate de soie blanche, se rendent à Munich dans un train spécial affrété par le IIIe Reich, car Joseph Goebbels donne un banquet.

• CHÉNIER ANDRÉ (1762-1794)

  • Écrit par Édouard GUITTON
  • 8 551 mots

  Dans le mouvement poétique issu des Lumières, Chénier n'est pas l'initiateur, mais un relayeur plus doué que les autres, un représentant de la troisième vague. La première, celle de Saint-Lambert et de Marmontel, produisait déjà à l'heure de la naissance de Chénier (1760-1770). La deuxième, celle de Lemierre et de Roucher, a donné son maximum en 1780.