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Renonçant

Issu de la forme : renonçant

  • Nom masculin singulier
  • Adjectif masculin singulier

Définition

  1. en religion, moine errant de l'Inde brahmanique ne possédant plus rien et vivant de la charité publique

"renonçant" dans l'encyclopédie

  • KARMAN

    • Écrit par Madeleine BIARDEAU
    • 9 822 mots

    Pour le renonçant hindou, c'est l'acte, et en particulier le rite, donc l'accomplissement de son devoir quotidien au sein de la société, qui entraîne ipso facto les renaissances, et l'immortalité à laquelle il aspire n'est plus le simple prolongement céleste de la vie d'ici-bas mais la délivrance définitive des conditions de la vie empirique individuelle, du saṃsāra.

  • BHIKṢU

    • Écrit par Jean VARENNE
    • 503 mots

    On les nomme encore sâdhus (sādhu : « saint »), samnyâsins (saṃnyāsin : « renonçant »). L'appellation de bhikshu (« mendiant ») est également employée par les bouddhistes, soit sous sa forme sanskrite (bhikṣu), soit sous sa forme pâli (bhikkhu).

  • RAO NARASIMHA (1921-2004)

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 656 mots

    Il est le premier dirigeant indien à changer de politique économique en renonçant au protectionnisme. Le vaste programme de privatisations qu'il engage sera poursuivi par le gouvernement nationaliste qui lui succède en 1996.

  • PIERRE & DES DOUZE APÔTRES ACTES DE

    • Écrit par Michel PEZIN
    • 889 mots

    Renonçant à tout, Pierre et ses compagnons parviennent à cette ville et Lithargoël, habillé en médecin, se révèle être le Christ. Tout dénote dans ce texte un milieu d'origine judéo-chrétien et, plus précisément, syriaque : l'accent porté sur la prédilection pour les pauvres, la condamnation des riches, le jeûne, le dépouillement nécessaire pour parvenir à la cité céleste, l'aspect double d'ange et de guérisseur des âmes que revêt le Christ et, enfin, les symbolismes de la « perle » et de la « cité céleste » (cf.

  • MOKṢA

    • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
    • 1 210 mots

    En principe, le mokṣa n'est possible que par la mort, mais certains pensent qu'il peut s'obtenir au cours de la vie, quand on adopte l'état du « renonçant solitaire », devenant ainsi un « délivré vivant » (jīvana-mukta). Le mokṣa apparaît alors comme la quatrième étape de la vie, celle qui vient après la réalisation des trois buts védiques de l'existence (devoir, profit, plaisir) ou à la suite des trois autres stades d'étudiant, de chef de famille et d'ermite.

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