Renouer
- Verbe à l'infinitif
Définition
- nouer une chose dénouée
- au figuré, reprendre des relations avec quelqu'un, reprendre une chose interrompue
"renouer" dans l'encyclopédie
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RENOUÉE DES OISEAUX
- Écrit par Pierre LIEUTAGHI
- 1 340 mots
Herbe des plus vulgaires, qui croît jusque sur les trottoirs des villes et qui est l'un des meilleurs toniques astringents indigènes. Pline et Dioscoride (ier s.) recommandaient la renouée des oiseaux (Polygonum aviculare L. ; polygonacées) contre les hémorragies et la diarrhée, indications qu'elle a conservées jusqu'à nos jours. Elle renferme du tanin, une huile essentielle, une résine, une cire, du sucre, des traces d'un alcaloïde volatil, de faibles quantités d'anthraquinones et de la silice.
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SCOTT GEORGE C. (1927-1999)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 605 mots
Par la suite, il tourne encore dans de nombreux films et s'essaie même à la mise en scène, sans pouvoir renouer avec le succès.
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QORAYSHITES ou QURAYSHITES LES
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 071 mots
Les premiers pèlerinages à l'ancien sanctuaire qorayshite de la Ka‘ba, redéfini alors comme temple abrahamique, devinrent pour Muḥammad le moyen de renouer avec ses origines familiales. Ce triomphe de l'Expatrié sur l'hostilité des siens devait assurer à la tribu un rôle historique : de celle-ci sont issus, outre les Compagnons du Prophète, les quatre premiers Califes, les Omeyyades, les Abbāsides, les Alides ; et la plupart des théoriciens du droit exigent de l'imām qu'il ait une origine qorayshite.
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FELA FELA RANSOME-KUTI, dit (1938-1997)
- Écrit par Bernard NANTET
- 3 405 mots
En 1978, voulant renouer avec les coutumes yoruba, il avait épousé les vingt-sept danseuses de son groupe. Et c'est pour renouer avec les mêmes traditions qu'il a été inhumé, le 11août 1997, dans sa concession, en plein quartier défavorisé d'Ikeja, à Lagos.
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MUSIQUE POUR CORDES, PERCUSSION ET CÉLESTA (B. Bartok)
- Écrit par Alain PÂRIS
- 1 460 mots
Avec cette œuvre, Bartók cherche à renouer avec la tradition baroque de la musique pour double orchestre, tout en s'exprimant dans un langage résolument moderne et en mettant l'accent sur les percussions, qui étaient encore considérées comme des « accessoires » de l'orchestre. Bartók concentre des procédés qu'il avait expérimentés dans ses quatuors à cordes (glissandos, pizzicatos claquant sur la touche), avec une recherche de couleurs qui passent du sombre et du dramatique à l'éclatant.