Repoussant
- Adjectif masculin singulier
- Verbe au participe présent
Définition
- qui inspire de la répulsion, du dégoût
Forme dérivée du verbe « repousser »
"repoussant" dans l'encyclopédie
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NARCISSE, mythologie
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 854 mots
- 1 média
Cependant, arrivé à l'âge adulte, il s'attira la colère des dieux en repoussant l'amour de la nymphe Écho. Poussé par la soif, Narcisse surprit son reflet dans l'eau d'une source et en tomba amoureux ; il se laissa mourir de langueur ; la fleur qui poussa sur le lieu de sa mort porte son nom. Selon une autre version rapportée par Pausanias, c'est pour se consoler de la mort de sa sœur jumelle, qu'il adorait et qui était faite exactement à son image, que Narcisse passait son temps à se contempler dans l'eau de la source, son propre visage lui rappelant les traits de sa sœur.
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TOREUTIQUE
- Écrit par Catherine ARMINJON
- 932 mots
La toreutique utilise toutes les techniques de mise en œuvre directe de la masse : la matière est entamée avec des outils tranchants (ciseau à tranchant en biseau, gouge à tranchant demi-circulaire, lime) ou modelée soit à la main (l'argile par exemple), soit au marteau dans la technique du repoussé sur feuille de métal (le repoussé consiste à obtenir un relief d'un côté en repoussant le métal de l'autre).
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GRÈNETIS
- Écrit par Catherine ARMINJON
- 1 028 mots
Le grènetis (ou greneté), composé de grains hémisphériques en demi-relief ou en haut relief (à peu près trois quarts de sphère), est obtenu de plusieurs manières : soit en repoussant une feuille de métal avec un outil dont l'extrémité a la forme du grain que l'on veut obtenir, le métal ressortant ainsi de l'autre côté (dans ce cas le grain est creux) ; soit en fondant le fond et son décor de grains (préparé en creux dans le moule) ; soit encore en matriçant une plaque de métal épaisse avec une empreinte (ou matrice) où la forme du grain est en creux (dans les deux derniers cas le grènetis est plein).
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ROYALISTES, France
- Écrit par Guillaume de BERTHIER DE SAUVIGNY
- 1 987 mots
Derrière cette divergence dans les allégeances existait un différend idéologique fondamental : les légitimistes, repoussant le principe du droit national, souhaitaient le retour à une monarchie paternelle et chrétienne, de droit divin ou historique ; tandis que les orléanistes, acceptant le principe de la souveraineté du peuple, symbolisé par le drapeau tricolore, étaient attachés au régime parlementaire.
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DAMIETTE ou TAMIATHIS
- Écrit par Jean FAVIER
- 1 705 mots
- 1 média
Les propositions faites par le sultan Al-Malik divisèrent l'armée chrétienne, le légat Pélage et les représentants des ordres militaires et des communes italiennes repoussant toute conciliation avec les Égyptiens, contre l'avis de Jean de Brienne et de ses barons. Après la prise et le sac de la ville, la division s'accrut d'un affrontement entre les droits du pape et ceux du roi de Jérusalem sur la nouvelle conquête.