Respecté

"respecté" dans l'encyclopédie

• DUCLOS-LASSALLE GILBERT (1954- )

  • Écrit par Pierre LAGRUE
  • 620 mots

  Vainqueur de Paris-Nice en 1980 et de Bordeaux-Paris en 1983, du Grand Prix du Midi libre en 1991, équipier modèle, capitaine de route respecté, Gilbert Duclos-Lassalle connaît la consécration en fin de carrière, dans son épreuve fétiche : Paris-Roubaix. Deuxième de cette course en 1980 derrière l'Italien Francesco Moser, il remporte Paris-Roubaix à trente-huit ans, en 1992, à l'issue d'une échappée sur les pavés du Nord, devant l'Allemand Olaf Ludwig.

• FOUJITA LÉONARD ou FUJITA TSUGUHARU (1886-1968)

  • Écrit par Maïten BOUISSET
  • 1 133 mots

  Grand admirateur du Douanier Rousseau, dessinateur remarquable, technicien hors-pair en matière de glacis et de fond, Foujita, avec un souci du détail scrupuleusement respecté, tente la synthèse de la tradition japonaise et du réalisme occidental et atteint à une sorte de « préraphaélisme maniéré », non dépourvu de sensibilité.

• HAQQANI MEHMET NAZIM ADIL AL- cheikh (1922-2014)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 1 192 mots

  Autorité spirituelle du soufisme, branche mystique de l’islam, le chef religieux turc chypriote cheikh Nazim était internationalement respecté. Né le 23 avril 1922 à Larnaca, Mehmet Nazim Adil est lié par sa famille à la longue tradition des confréries soufies (ṭarīqa ṣūfī). Il est également rattaché à la « chaîne d’or » des maîtres soufis, initiés l’un après l’autre depuis le prophète Mahomet.

• AHMADOU (mort en 1895 env.)

  • Écrit par Alfred FIERRO
  • 1 238 mots

  S'il est un chef religieux respecté, son autorité politique reste faible. Les Toucouleurs lui sont fidèles, mais il ne parvient à aucun moment à obtenir une obéissance réelle des Peuls et des Bambara. Ses propres frères se constituent des chefferies quasiment indépendantes, comme Tidiani à Bandiagara, Mountaga à Nioro et Aguibou qui le trahit en soutenant les Français.

• MANTZ FELIX (1498?-1527)

  • Écrit par Bernard ROUSSEL
  • 1 279 mots

  1527), il est accusé de vouloir créer sa propre Église, d'interdire le port des armes et l'accès au Magistrat, d'exiger le partage des biens, de ne pas avoir respecté ses engagements antérieurs. Condamné à mort, il est noyé le 5 janvier 1527.