Rhinencéphalique
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- en médecine, relatif au rhinencéphale, partie du cortex cérébral
"rhinencéphalique" dans l'encyclopédie
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HYPOTHALAMUS
- Écrit par Paul LAGET
- 31 384 mots
- 5 médias
) qui assure une bonne part des relations de l'hypothalamus avec certaines structures rhinencéphaliques (septum et structures olfactives en particulier) ; – le fornix ou trigone provenant de l'hippocampe et qui, par ses deux composants précommissural et rétrocommissural, relie cette importante formation à de nombreux noyaux hypothalamiques ; – la strie terminale, qui, partant de l'amygdale rhinencéphalique située à la pointe du lobe temporal, rejoint l'hypothalamus par un trajet compliqué longeant la concavité du noyau caudé.
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NERVEUX (SYSTÈME) Neurobiologie
- Écrit par Jean-Marc GOAILLARD, Michel HAMON, André NIEOULLON et Henri SCHMITT
- 75 670 mots
- 11 médias
Les phénothiazines neuroleptiques et les antidépresseurs tricycliques accroissent la durée des convulsions d'origine rhinencéphalique, que l'on provoque en stimulant le noyau amygdalien ; ces produits engendrent même parfois des convulsions spontanées. On a supposé qu'ils agissaient en réalisant une sorte d'ablation fonctionnelle de cette structure, d'où découleraient l'indifférence émotionnelle et, par là, l'amélioration de certaines psychoses.
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NEUROLOGIE
- Écrit par Raymond HOUDART, Hubert MAMO, Jean MÉTELLUS et Encyclopædia Universalis
- 166 461 mots
- 8 médias
Entré dans la langue française aux environs de 1690 sous la forme, aujourd'hui caduque, de « névrologie », le terme de neurologie, utilisé à partir de 1732 pour désigner la branche de la médecine qui étudie l'anatomie, la physiologie et la pathologie du système nerveux – et principalement du cerveau –, reçut sa consécration officielle de Jean Martin Charcot lorsqu'il fonda en 1880 les Archives de neurologie.