Rhinovirus
- Nom masculin invariant en nombre
Définition
- en pathologie, virus à ARN provoquant les affections dites " rhumes "
"rhinovirus" dans l'encyclopédie
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ENTÉROVIRUS
- Écrit par Jacques MAURIN
- 10 242 mots
L'ensemble des entérovirus et des rhinovirus constitue la famille des Picornaviridæ (petits virus à ARN).
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VIROSES ANIMALES
- Écrit par Jacqueline VIRAT
- 14 208 mots
La peste équine est provoquée par un rhinovirus. Elle sévit en Afrique et au Moyen-Orient. Elle est souvent mortelle. Les symptômes en sont des troubles respiratoires et circulatoires. La prophylaxie se fait par vaccin atténué et contrôle strict de l'introduction d'animaux en provenance des zones d'enzootie. L'anémie infectieuse est une maladie transmissible dont l'agent non classé est difficilement isolable in vitro.
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BRONCHIOLITE
- Écrit par Corinne TUTIN
- 12 219 mots
- 1 média
Dans 60 à 75 % des cas, le VRS – dont il existe deux sous-types, A et B – est impliqué, mais d’autres virus peuvent provoquer des bronchiolites, comme des virus para-influenza, des adénovirus, des rhinovirus… Cette affection respiratoire atteint plus particulièrement les enfants de moins de deux ans – avec un pic entre trois et six mois – dont le système immunitaire est immature ; les grands enfants et les adultes peuvent être porteurs du VRS et le transmettre aux nourrissons.
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ASTHME
- Écrit par Philippe GODARD et François-Bernard MICHEL
- 32 224 mots
- 2 médias
Les virus responsables d’exacerbation sont les rhinovirus (dans 48 p. 100 des cas), le virus respiratoire syncitial (18 p. 100, d'où le lien souvent évoqué entre bronchiolite et asthme) puis le Mycoplasma pneumoniae (14 p. 100) et corona virus (12 p. 100). Chlamydia, Influenza, Para influenza et Adenovirus n’expliquent respectivement que 5, 3, 1 et 1 p.
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PROTÉINES Structures
- Écrit par Philippe BRION, René LAFONT et Encyclopædia Universalis
- 34 494 mots
- 6 médias
Les capsides de virus sont quant à elles des multimères, l'enveloppe des rhinovirus comprend par exemple soixante copies, constituées chacune de quatre sous-unités. Une complémentarité est nécessaire au niveau de ces interfaces pour maximiser la force des interactions en jeu et ainsi stabiliser la structure. L'organisation quaternaire est non covalente : les unités sont solidarisées par des liaisons faibles entre résidus exposés par leurs interfaces.