Richissime
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- extrêmement riche
"richissime" dans l'encyclopédie
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BARKS CARL (1901-2000)
- Écrit par Dominique PETITFAUX
- 833 mots
Carl Barks le fait vivre jusqu'en 1966, le rendant aussi populaire que Mickey, grâce à des scénarios qui mêlent habilement humour et aventure, et à l'invention de personnages secondaires marquants, dont le plus célèbre est l'oncle Picsou (Uncle Scrooge), un vieil avare richissime, créé en 1947. Comme tous les dessinateurs de la compagnie Walt Disney, Carl Barks travaillait anonymement.
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FEBRES CORDERO LEÓN (1931-2008)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 292 mots
Membre du Parti social-chrétien, ce richissime homme d’affaires conservateur est élu président de la République en 1984 avec le mot d’ordre Pan, Techo y Empleo (« pain, toit et emploi »). Il se fait bientôt connaître à travers toute l’Amérique latine pour son image d’homme à poigne, renforcée par un goût prononcé pour la cigarette et les armes à feu.
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JONES JENNIFER (1919-2009)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 329 mots
- 1 média
Elle se remarie en 1971 avec le richissime collectionneur Norton Simon, fondateur du Pasadena Art Museum, dont elle deviendra la directrice. Parmi ses ultimes prestations, mentionnons La Tour infernale, de John Guillermin (1974).
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LA CLOCHE D'ISLANDE, Halldor Kiljan Laxness Fiche de lecture
- Écrit par Régis BOYER
- 3 660 mots
Richissime de matière narrative, se déroulant dans divers lieux, islandais, mais aussi danois, puisque Jon est transféré dans ce pays, ce roman ne se laisse guère résumer en quelques lignes. Jon finira par être acquitté après bien des tribulations que dominent un humour « énorme », dans le goût rabelaisien, et une ironie sèche et rapide, à la Voltaire.
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MEISSONIER JEAN-LOUIS ERNEST (1815-1891)
- Écrit par Bruno FOUCART
- 3 685 mots
- 1 média
Peintre admiré, adulé, dont les toiles valaient si cher qu'il n'entra en force au Louvre qu'en 1909, grâce au legs du richissime Chauchard, Jean-Louis Meissonier est tombé presque aussitôt dans un discrédit total dont il ne s'est dégagé que grâce à l'intervention inattendue de Salvador Dalí. Comment expliquer la gloire sans pareille du peintre qui, après un court mais fructueux passage dans l'atelier de Léon Cogniet et des débuts assez difficiles de vignettiste, commence à exposer au Salon de 1834, conquiert richesse et honneurs (première médaille en 1848, membre de l'Institut en 1861, médaille d'honneur en 1867, grand-croix en 1889, etc.