Rider
- Verbe à l'infinitif
Définition
- marquer de rides
- en marine, tendre aux moyens de rides, cordages servant à tendre les haubans
A la forme pronominale
- se marquer de rides
"rider" dans l'encyclopédie
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LE RIDER JACQUES (1954- )
- Écrit par Marc CERISUELO
- 5 560 mots
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Plusieurs lignes de force animent la recherche de Jacques Le Rider depuis ses toutes premières publications. La première, sans doute la plus importante, est liée à la modernité viennoise à laquelle Le Rider consacre sa thèse d’état (Modernité viennoise et crises de l’identité, 1990), rapidement publiée aux P.U.F. dans la collection Perspectives critiques.
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EASY RIDER, film de Dennis Hopper
- Écrit par Kristian FEIGELSON
- 5 037 mots
- 1 média
Mais Easy Rider sera porteur, dans l'après-68 et au-delà des États-Unis, d'une forme d'identification culturelle pour toute une génération contestataire.
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Easy Rider Blues, DAVIS (Jimmie)
- Écrit par Eugène LLEDO
- 4 083 mots
Easy Rider Blues est un thème qui a été joué par les plus célèbres bluesmen, Blind Lemon Jefferson (vers 1897-1930) et Texas Alexander (1890-1954) notamment; le pianiste de boogie-woogie Albert Ammons (1907-1949) l'a également interprété. La forme de cette chanson est celle d'un blues binaire aux allures country, simplement accompagné par la guitare, qui joue une alternance de basses et d'accords.
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JOURNAUX INTIMES VIENNOIS (J. Le Rider)
- Écrit par Marc CERISUELO
- 5 061 mots
- 1 média
Tout à fait conscient de la part de risque qu'il y a à juxtaposer un genre et une époque – en l'occurrence la modernité viennoise, qui s'élabore à partir de 1890 et trouve des prolongements jusqu'en 1938 –, Jacques Le Rider se consacre ici à une série de lectures précises qui tissent l'histoire culturelle du journal intime autour de plusieurs références fédératrices.
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LES COULEURS ET LES MOTS (J. Le Rider) Fiche de lecture
- Écrit par Marc CERISUELO
- 5 812 mots
Jacques Le Rider, précoce et brillant germaniste, auteur de livres de référence consacrés à Otto Weininger, à Hugo von Hofmannsthal et à la modernité viennoise (tous publiés aux Presses universitaires de France, où il dirige la collection « Perspectives germaniques » et la Revue germanique internationale), n'avait sans doute pas vocation à mener une enquête historico-esthétique sur le devenir des relations entre la littérature et la peinture.