Rieur

"rieur" dans l'encyclopédie

• OIE RIEUSE

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 845 mots

  L'oie rieuse (Anser albifrons) est une oie relativement petite, au corps sombre, au front blanc et au bec jaune, présentant des barres noires irrégulières sur le ventre. Elle fait partie de la sous-famille des Ansérinés (famille des Anatidés et ordre des Ansériformes). Son aire de nidification s'établit au nord du cercle arctique. L'oie rieuse, qui compte quatre ou cinq sous-espèces, est la plus largement répandue des oies dites grises.

• GASCOIGNE GEORGE (1542-1578)

  • Écrit par Henri FLUCHÈRE
  • 3 145 mots

  Mais il faut que ce soit bien fait, que l'on frôle l'invraisemblable sans trop de risques, que les méprises fassent du rieur le bon rieur, que l'on ne soit pas trop cynique avec l'amour (le public anglais n'aime pas ça) et que les vraies identités retrouvent leur vraie place avec leurs vrais sentiments. Compte tenu de quelque embarras dans un dialogue qui n'a pas encore toute sa ductilité, d'un jeu un peu lourd sur les équivoques (nous n'en sommes pas encore aux insolences spirituelles des « combats d'esprit »), ces Imposteurs ouvrent la voie de la comédie anglaise.

• MAITREYA, chin. BUDAI [POU-TAI]

  • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
  • 1 813 mots
  • 1 média

  Il devient Pusa (Poussah), personnage rieur et gras qu'on trouve presque partout en Extrême-Orient et qui s'est même introduit chez les Occidentaux.

• LAPEYRÈRE ISAAC DE (1596-1676)

  • Écrit par Bernard CROQUETTE
  • 2 054 mots

  Méridional rieur, huguenot gaillard, « grand liseur, grand amateur de singularités, inventeur d'un système d'orthographe phonétique, historien, ethnographe avisé, il met dans la recherche un zèle si ardent et si original qu'il semble ne pouvoir se satisfaire que dans le paradoxe ou l'hérésie » (R. Pintard). Il s'attache tout particulièrement à l'étude des premiers livres de la Bible et à l'histoire du peuple juif.

• MOT D'ESPRIT, littérature

  • Écrit par Véronique KLAUBER
  • 2 865 mots

  Traits, pointes, saillies et bons mots agrémentent la conversation des salons, un peu trop peut-être pour le goût de La Fontaine qui met en scène, dans la fable Le Rieur et les Poissons, l'action de faire de l'esprit aussi bien que la réaction du public. Parallèlement à la vogue des mots d'esprit, leur critique se déploie donc aussi, mais elle devient beaucoup plus virulente à partir du xviiie siècle.