Rival
- Nom masculin singulier
- Adjectif masculin singulier
Définition
Employé comme adjectif
- opposé dans la course à un avantage, à un résultat...
Employé comme nom
- personne en compétition
Expressions autour de ce mot
- sans rival : inégalable
"rival" dans l'encyclopédie
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LELEU JEAN-FRANÇOIS (1729-1807)
- Écrit par Colombe SAMOYAULT-VERLET
- 1 193 mots
Leleu fut formé dans l'atelier d'Œben, comme Riesener, dont il resta longtemps le rival. À la mort du maître en 1763, il espérait obtenir la direction de l'atelier ; mais, ayant été évincé par Riesener, il se fit recevoir maître en 1764 et s'installa à son compte. Il est influencé par Œben, mais s'affirme bientôt comme le plus néo-classique des ébénistes de son époque, peut-être à cause des commandes qui lui sont faites par Mme du Barry, dont le pavillon de Louveciennes est un exemple du nouveau style.
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BURDJITES ou BURDJIYYA
- Écrit par Philippe OUANNÈS
- 1 566 mots
Le célèbre Baybars al-Djashnakīr, qu'ils soutenaient, évinça son rival Sallār, champion de ce qui restait du régiment des baḥriyya, ou bahrites, et succèda à al-Qalā‘ūn en 1308. Les burdjiyya atteignirent alors l'apogée de leur puissance. Mais Muḥammad al-Nāṣir remonta sur le trône (1309-1340) et chassa les burdjiyya de leurs positions avantageuses.
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DUPLEIX JOSEPH FRANÇOIS (1697-1763)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 224 mots
Il se rallie à Chanda Sahib, prétendant à la fonction de nabab du Carnatic, et, quand les Britanniques soutiennent un candidat rival, une guerre entre les deux compagnies s'engage (1751). Les prouesses du plus grand rival de Dupleix, le Britannique Robert Clive, font que toutes les forces françaises, sauf celles du Deccan, sont vaincues. Dupleix poursuit ses rêves de grandeur française pendant deux années encore, mais les finances françaises s'épuisent.
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ACIS
- Écrit par Nicole QUENTIN-MAURER
- 289 mots
Mais le cyclope Polyphème, son rival malheureux, surprit un jour les amants et écrasa Acis sous un rocher. Le sang de l'adolescent devint un fleuve.
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MOUTONS-BLANCS ou AK KOYUNLU
- Écrit par Philippe OUANNÈS
- 2 459 mots
C'est le fils de ‘Alī, Uzun Ḥasan (1424-1478), qui se débarrasse du clan rival en tuant, vers 1467 l'un des derniers Qara Qoyunlu, Djahan shāh. Il arrive ainsi à étendre sa propre souveraineté du golfe Persique à Harāt. Il transfère alors sa capitale à Tabrīz, ville déjà choisie par le clan rival qu'il vient de supplanter, et donne à sa propre fédération une dimension internationale, en nouant des relations diplomatiques et des alliances avec Venise, avec le pape, entre autres, dirigées contre la puissance grandissante des Ottomans.