Roll
- Nom masculin singulier
Définition
- dans l'expression "rock n' roll "
"roll" dans l'encyclopédie
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MORTON JOSEPH FERDINAND LA MENTHE (ou LEMOTT) dit JELLY ROLL (1885 ou 1890-1941)
- Écrit par Alain GERBER
- 1 241 mots
- 1 média
Jelly Roll Morton était un perfectionniste inquiet, conscient d'œuvrer pour la postérité. Cela lui permit d'être moins vite satisfait que d'autres de sa musique et surtout de battre en brèche l'idéologie (triomphante dans le jazz de l'époque) de la spontanéité pure. Jelly Roll Morton croyait en l'écriture, exigeant de ses musiciens qu'ils se contentent « de jouer les petits signes noirs inscrits sur le papier ».
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ROLLS-ROYCE
- Écrit par Bertrand DREYFUS
- 3 533 mots
- 3 médias
Firme britannique de construction automobile et aéronautique, fondée en 1906 à Manchester par un mécanicien de grand talent, Frederick Henry Royce (1863-1933), et un jeune aristocrate anglais, féru de sports mécaniques, Charles Stewart Rolls (1877-1910). Celui-ci fut le premier aviateur à faire l'aller et retour sans escale entre l'Angleterre et la France, un an après la mémorable traversée de la Manche par Louis Blériot le 25 juillet 1909.
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BERRY CHUCK (1926-2017)
- Écrit par George LIPSITZ
- 5 609 mots
- 1 média
Deux ans plus tard, il est un des premiers artistes faits membres du Rock and Roll Hall of Fame, le panthéon américain du rock.
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LITTLE RICHARD (1932-2020)
- Écrit par Langdon C. WINNER et Encyclopædia Universalis
- 3 940 mots
Le succès ne cessant de croître, Little Richard se produit dans certains des premiers films de rock and roll : Don't Knock the Rock et The Girl Can't Help it (La Blonde et moi ; tous deux en 1956) et Mr. Rock and Roll (1957). Dans ce dernier, il chante, à pleins poumons, du piano avec une sombre intensité qui, en ces années ternes, surprend par son excès, impression amplifiée par l'énorme coiffure en banane du chanteur, son eye-liner et son fond de teint.
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TURNER JOSEPH VERNON dit BIG JOE (1911-1985)
- Écrit par Gérard HERZHAFT
- 2 603 mots
Joe Turner est aussi un des rares artistes noirs du rhythm and blues capable de s'arrimer au courant du rock 'n' roll. Il signe en 1951 un contrat avec le label Atlantic, qui l'entoure des meilleurs musiciens du moment, le produit intelligemment et distribue ses disques dans toute l'Amérique. Shake, Rattle and Roll, Flip, Flop and Fly et Teenage Letter obtiennent autant de succès dans les hit-parades de rhythm and blues que dans ceux de pop et le nom de « Big Joe » Turner est associé aux stars adolescentes du rock 'n' roll.