Romancier
- Nom masculin singulier
Définition
- celui qui écrit des romans, œuvres littéraires où entrent en grande part l'imagination et la subjectivité
"romancier" dans l'encyclopédie
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LEFTAH MOHAMED (1946-2008)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 702 mots
Le romancier y fait montre d'une écriture à la fois crue et poétique, jouant de la transgression pour peindre la société marocaine à la lumière du désir sexuel.
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SANDEAU LÉONARD SILVAIN JULIEN dit JULES (1811-1883)
- Écrit par Patrice DUBOC
- 3 676 mots
Balzac le soutient dans ces débuts de romancier, l'héberge et pense le prendre pour secrétaire ; en cette qualité, il compose une biographie imaginaire, préface aux Œuvres complètes d'Horace de Saint-Aubin (pseudonyme de Balzac). Mais la personnalité d'un tel patron l'écrase, et le romancier ne tient pas ses promesses, donnant Marianna (1839), roman à clef d'une écriture souvent alambiquée, où il est Henri, et George Sand Marianna, et Les Revenants, recueil de nouvelles déjà publiées et entremêlées à la production d'Arsène Houssaye.
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ESCARPIT ROBERT (1918-2000)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 873 mots
Universitaire, romancier et « billettiste » du Monde. Normalien, agrégé d'anglais, Robert Escarpit s'est intéressé de façon pionnière à des sujets de sciences humaines et sociales (Sociologie de la littérature, 1958, La Révolution du livre, 1965, Théorie générale de 1'information et de la communication, 1975). À Bordeaux, où s'est déroulée toute sa carrière universitaire, il fut, de 1975 à 1978, président de l'université de Bordeaux-III.
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PRĒMČAND (1880-1936)
- Écrit par Jean VARENNE
- 2 798 mots
Il est considéré, aujourd'hui encore, comme le meilleur romancier indien du xxe siècle.
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LAURENT JACQUES (1919-2000)
- Écrit par Jacques LECARME
- 4 141 mots
Ici, un grand romancier semble être né d'un philosophe à la vocation assurée, mais avortée. Voué au libertinage aussi érudit qu'érotique, Jacques Laurent excelle dans la création de figures de femme à la double ou triple vie. Ainsi, dans Les Dimanches de mademoiselle Beaunon (1982), le romancier réconcilie-t-il un lecteur assoiffé d'identification avec un genre romanesque qui, disait-on, avait éradiqué la notion même de personnage.